Alors, voyons voir si le Sire s’est amélioré depuis le temps…
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Ah… Quel plaisir une fois encore. Ca (péjoratif de la part de quelqu’un qui se veut incarner le bon goût en terme de « parler français ». Le « cela » serait donc plus adéquat) pourrait presque s’assimiler à un péché même là (redondant ou mal construit, je vous laisse le choix) .
Tout commença lorsque les grands anneaux de pourvoir furent forgés. Trois furent donnés aux elfes… Mince, c’est (on nous apprend au primaire à mettre le « ne », ou à défaut le « n’ » pour indiquer la négation. Quelqu’un d’aussi érudit que vous devrait le savoir) pas celle là…
Il est seize heures. Nous (je savais que César parlait de lui à la troisième personne du singulier. Pour les premières personnes du pluriel, hormis les Rois français de droit divin et Gollum je ne vois pas. Sans doute ce dernier sied-t-il parfaitement à votre personne, non ?) essayons de joindre vainement le dénommé Exar qui refuse, comme il se doit, de répondre à nos sollicitations. Heureusement que le dénommé Darksun veille au grain. Rendez-vous est donné sur le Mont Par delà la Nasse (jeu de mot laissant plus qu’à désirer, permettez-moi de le souligner) une heure et demie plus tard.
Après avoir gravi à pieds, malgré notre grand âge, le Mont Par Nasse et être arrivé à l’heure, nous constatons avec effroi (oui, c’est une expression. Jamais il ne me viendrait à l’esprit de citer ce nom de clan dirigé par un des plus grands gueux du Lorndor et composé d’anciens révolt) que nous sommes seul (le « nous » implique généralement l’emploi du pluriel… Même chez vous Sire, je le crains) … Aucun hordeux, allianceux ou neutre à l’horizon.
Le temps passe, s’égrène avec lenteur (Cette phrase pourrait avoir du style. Mais employée ainsi, elle fait simplement penser à un vulgaire plagiat, et encore… mal fait) … Finalement, le dénommé Darksun, doué du don de télépathie, nous préviens (tiens… une troisième personne du singulier qui se termine en « s ». Original. Je prends note) qu’il aura un peu de retard… Il se met à pleuvoir… Nous nous réfugions donc au sein même du Mont.
Et voilà que l’élite tyrannique arrive… : DarkVador, DarkSun, Exar et sa femme (future femme on me souffle (crier eut été plus adéquat je pense) dans l’oreille) Tealy (que l’on prononce toujours de la façon marseillaise (je suppose que le premier quidam venu est sensé devier ce que cela signifie ?) ). Nous nous saluons froidement, Sire n’ayant guère l’habitude de pactiser avec des hordeux et Exar ayant peur pour sa femme qui avait alors revêtu ses plus beaux atours (difficile de faire phrase plus longue…) (colliers composé des dents originelles de son chef par exemple).
Quelques minutes plus tard, une princesse humaine et une déesse elfe pointent le bout de leur robe et affichent ostensiblement leur magnifique diadème : Dame Salia, vêtue d’une somptueuse robe bleue nuit, et Dame Elyra, toute emmitouflée dans une magnifique pelisse composée de vison, hermine et chinchilla (non, non, pas Sol… (c’est sensé signifier quelque chose ?) )… Toute l’assemblée ne peut restée (quand deux verbes se suivent, le deuxième est toujours à l’infinitif… On apprend ça au primaire non ?) que muette face aux trois beautés réunies… Bien que deux soient hordeuse, mais Dame Elyra est pardonnée, elle fait partie de la plus belle des races. (La phrase commence par « bien que ». Pourtant, elle ne veut rien dire. Et le « hordeuse » pourrait prendre un « s » que ce ne serait pas là du luxe)
Les minutes passent encore et arrivent… un Troll (Si seul un troll arrive, l’emploi de la troisième personne du pluriel n’est pas indispensable) . Nul doute sur sa race : immense, poilu, voix grave, et sachant émettre à l’aide de tous ses orifices connus (ponctuation… Est-ce un mot que connaît Sire ?) des bruits que la décence m’interdit de citer.
Grom, comme nous l’avons baptisé (puisque c’était là le seul et unique mot qu’il ait su prononcer jusqu’à l’arrivée dans la taverne… Oui, oui, mais ça vient après), était accompagné d’un serviteur. D’aucuns (Oh… un mot de vocabulaire… Profitons pour le souligner) pensaient que c’était son frère, mais nul doute qu’il ne pouvait s’gir (faute de frappe nous supposerons) là que d’un serviteur zélé et, ma foi, plutôt fêlé (tiens… Premier trait un peu amusant. En espérant que ce ne fut pas recopié bêtement d’un livre…).
Dame Elyra pris donc les opérations en main et nous mena dans une taverne proche, soit disant, du Mont Par Nasse (elle nous certifia qu’il ne fallait que sept minutes, et pas une de plus pour s’y rendre… Enfin, je n’insisterai pas (Et pourtant, le récit continue…) ).
Une fois arrivés sur place, nous nous installâmes à une table à l’étage, afin d’avoir plus d’intimité. Cet étage nous était totalement réservé. Quelle classe pour le vieux (cavalier… à retravailler) .
Nous nous assîmes donc et commandâmes. Enfin, par commandâmes j’entends que tout le monde eut le droit de choisir ce qu’il désirait boire, sauf nous… A force de sénilité, gâterie (sans doute serait-il bon qu’un jour vous ouvriez un dictionnaire, Sire. Gâterie n’a rien de commun avec gâteux.) et autres radotages, Dame Elyra pensait que notre jugement était déficient. D’un commun accord, je fus placé sous tutelle (nous n’étions qu’en curatelle jusque là) et Dame Elyra choisît (pourquoi cet accent circonflexe ?) donc pour nous ce qu’il nous fallait boire. Ma mémoire, déficiente, ne me permet pas de me rappeler ce qu’elle avait choisit pour nos personnes. Je me souviens par contre qu’Exar avait pris sa fameuse bière du démon, celle dont il rêvait depuis de (des ?) mois. Lorsque Dame Tealy lui a expliqué (un passé simple serait meilleur ici) que ce breuvage ne provenait pas réellement des entrailles d’Irgul, nous eûmes droit à une scène étrange, mêlée pour moitié de pleurs, menaces et lamentations… (si vous dites « pour moitié », évitez de citer trois noms ensuite, mais plutôt deux…) (c’est un spectacle à voir une fois dans sa vie… Prononcez le mot Irgul, cage de mana ou démon devant Exar, et vous ne serez pas déçus).
Je me souviens que Dame Elyra prît (tiens, encore un accent original) un [color=red]Mille Chèques (mouais… Je ne relèverai pas) aromatisé au rhum bleu… Un pur délice, mais qui laissât (ridicule ce coup là… Il faut bien le souligner) sur la belle Damoiselle des traces visibles le lendemain encore (Un conseil là aussi… Si vous rencontrez Dame Elyra, payez-lui un rhum bleu et vous saurez tout des mœurs de certaines personnes de HC… DarkVador, je n’ai pas encore craché le morceau… Si tu as des PO en trop, c’est maintenant qu’il faut me (tiens, on revient à la première personne du singulier maintenant ?) les donner).
Nous bûmes… Gaiement (les points de suspension sont-ils sensé expliquer quelque chose ?) . Dame Tealy souffrait… Qu’avait-elle bien pu prendre qui lui fasse pareil effet ? Un breuvage pétillant à en juger par les bulles. Mais oui, c’était là un breuvage lointain… Cela venait des côtes du Nord, là où ils mentent toujours… Un breuvage Nord Ment (nul, tout simplement) quoi (oui, oui, sale jeu de mot, digne d’Exar (dénonciation gratuite en plus d’être calomnieuse. Vous êtes nul Sire, ayez au moins la décence de le reconnaître) … Je me tais).
Bref, nous prîmes (vous ne trouvez pas encore un verbe plus bateau que celui-là à mettre ?) la seconde tournée. Dame Elyra choisit encore pour nous, dans sa grande bonté qui la caractérise.
Après deux bonnes heures dans la place (emploi un peu vieillot, mais ma foi, au moins cela vous sied à merveille) , nous payâmes le Ténardier, et montâmes dans une calèche publique… Nous y récupérâmes au passage Dame Cliodhna.
Une fois descendu de la calèche et remontés (descendus est au singulier, et remontés au pluriel. Il faudrait choisir) à la surface, je donnai le plan indiquant l’endroit où nous avions convenu de nous restaurer à aux (il serait bon de choisir là aussi) demoiselles du groupe. Il pleuvait encore. Et (Normalement, seuls les grands écrivains, et encore, se permettent de commencer un phrase pas « et ». Pensez-vous faire partie de cette caste ? Je puis vous éviter de trop vous creuser la cervelle… Non !) nous rebroussâmes chemin à plusieurs reprises (pour les excuser, nous dirons quand même qu’au moins cinq rues partaient de l’endroit où la calèche nous avait déposée… Même si le restaurant était sensé être à deux rues).
N’en pouvant plus, le Sieur DarkVador, chef des Tyrans, Guide du peuple mort vivant, incarnation vivante (ou presque) de la mort en Lorndor (Euh… Soit c’est du foutage de gueule, c’est sire est hordeux là. Pas possible) , tourna au coin d’une ruelle sombre afin de se soulager. Personne ne sembla trop choqué, d’autant plus que les jeunes damoiselles (vieillot. Il n’y a que vous pour user de ce terme) étaient trop concentrées sur le plan.
Mais heureusement, nous trouvâmes l’entrée du restaurant (merci à DarkSun d’avoir repris les choses en mains)… Restaurant… Enfin, de restaurant il ne portait que le nom. Il était, disons-le, atypique. N’était-ce pas d’ailleurs le mot employé dans le message de Dame Elyra. Il était comme moi ce restaurant. Avec les toiles d’araignées vieilleries bonnes à jeter (ponctuation) et autres gueuseries (ouvrez un dictionnaire le vieux) dans le style.
Le menu était succin. Nous avions le chois (verbe choir ?) entre quatre plats seulement. Heureusement que le tout fut bon, quoi que (attaché) de raclette, nous ne vîmes pas grand-chose, Grom ayant choisi, comme nous, ce met de choix (répétition). [color=red]Heureusement (répétition avec le paragraphe du dessus) que nous pouvions nous rattraper sur les desserts… Mais là, une surprise nous attendait, puisque, sur les sept ou huit desserts composant le menu, un seul était encore disponible.
Comme le disait le bon DarkVador ce soir là, si les services impériaux de l’hygiène étaient passés dans ce restaurant, il aurait fermé le soir même. Nous recommandons particulièrement d’aller aux toilettes… Oui, oui, ceux au fond de la «cours (les guillemets signifient-ils que vous ne savez écrire ce mot ? Car tel semble être le cas) ». Mais ce fut bon, et copieux… Et le serveur, patron, cuisinier, enfin… La seule et unique personne présente pour tout faire dans le restaurant semblait plus vieille que moi (J’en doute… Vos lunettes devaient être embuées, Sire) … J’en fus ému aux larmes…
Une fois le repas fini, nous sortîmes et nous séparâmes dans les calèches métalliques.
Le lendemain midi, même topo, comme qui dirait. Le vieux Sire était la seule personne présente à l’heure. Le noble PrinceNoir arriva ensuite de Ploucadec les Oies, et nous aperçu en train de feuilleter le (gazette est un terme n’ayant plus réellement cours de nos jours. Vous devriez donc savoir que c’est féminin) gazette du Lorndor (pourvu que Dame Seythan ne voit pas que j’ai cité ce nom là…). Nous patientâmes au Mont Par Nasse quelques minutes, puis virent (vîmes ou vinrent, il faut choisir) les vils tyrans, [color=red]suivit (tsss) rapidement pas les Dame Elyra et Salia.
Grom, qui avait semble-t-il quelque peu abusé des boissons alcoolisées la veille, ne se rendit pas au rendez-vous, tout comme Monsieur son frère (d’aucuns disent que le troll était parti à la patinoire… N’importe quoi… Un troll qui patine, on ne voit même pas ça dans les cirques). DarkSun aussi était absent. Il avait apparemment quelques menues difficultés avec une machinerie qui re-passait… Donc des habits sur la planche quoi (tiens, un trait d’humour presque réussi) … (ok, ok…)
Nous nous rendîmes alors à la taverne de la veille, mais pour y déjeuner cette fois. Il était alors quinze heures passées, si je ne m’abuse. Mais nous n’avions pas reçu l’autorisation de déjeuner préalablement… Allez savoir pourquoi (« Non… Faut l’attendre. Mon trésor il arrive à deux heures et il n’aura pas mangé. On ira tous ensembles ce sera sympa. Puis il compte sur toi Exar. Et sur toi aussi Tealiiiiiiii. Youpiiiiiiii !!!!!!!! Alors vous jeûnez, d’accord. Sinon, je le dis à mon vil, et je vous éclate la tronche contre un mur avant de vous enfoncer mes bottines aiguilles dans le c.. »)…
Nous déjeunâmes tranquillement. Toutes les filles prirent une salade, car elles tenaient à leur ligne… Exar aussi prit une salade, tiens… Et (mais plutôt que « et ») pas Dame Elyra… Allez savoir. Ce ne fut pas mauvais, il faut le reconnaître. Tout comme la boisson, qui fut encore choisit (de mal en pis) par Dame Elyra, des fois que…
Il est bon de préciser que le Sieur PrinceNoir mange tout, finit toutes les assiettes, si tant est qu’il ne faille pas manger les légumes (cavalier car peut avoir plusieurs sens) . Ce n’étaient pas des « géant vert » cuisinés par sa môman alors il n’aimait pas (et sinon, il y en a qui ont dit qu’il avait du bide, mais je citerai (« ne », neuneu) pas de nom… Pourquoi tu me montres du doigt Exar ? C’est pas toi qui a (le « toi » indique le deuxième personne du singulier, donc « tu ») dit qu’il était enceinte ?).
Kalays nous rejoignit bien plus tard… Dame Elyra le charriât pas d’accent) un peu, mais rien de bien méchant. En tous cas, cela permit à Exar de souffler un peu.
Mais toute chose à une fin, aussi mauvaise soit-elle (ben oui, il y avait de (des) vils hordeux… Pour ne pas dire qu’avec Dame Salia, nous étions les deux seuls et uniques allianceux… Quoique les templars… Sont morts non ? Vive les ROI !).
Bref, une fois encore, nous prîmes les calèches pour nous rendre au Mont Par Nasse. Là, nous fîmes des adieux déchirants à deux hordeux, Exar et DarkVador, le premier s’en retournant dans sa lointaine contrée, le second allant donner un coup de main à son frère qui apparemment ne s’en sortait pas avec son fer et sa planche…
Exar partit au cri de « vive les ROI ». Je le garderai à jamais dans ma mémoire aussi défaillante soit-elle. (Pfff… tout un paragraphe sans rien à redire. Il faut le souligner quand même, car rare)
Nous abandonnâmes aussi Dame Tealy sur place. Ses sanglots déchirants au départ de son époux ne m’émurent pas le moins du monde. Mais pour faire taire les hurlements, je lui expliquai que les morts-vivants étaient admis chez les ROI. C’est donc le sourire au lèvres (singulier ou pluriel ? Et est-ce qu’un mort-vivant a encore des lèvres ?) qu’elle nous quitta (juste le sourire, elle ne se marrait pas compris (pas compris, mais pourquoi pas) ).
Nous nous rendîmes alors, le petit groupe restant, au sein des seins (jeu de mot amusant, étant donné l’endroit où vous vous rendiez. Mais bizarrement, je doute qu’il soit exprès) … dans l’antre du démon (pas celle-là Exar), chez le dénommé Kalays.
Après que le chat beauté ait fumé (temps du verbe impropre à mon sens) des herbes «pro vents sales (faut-il vraiment que je commente ce jeu de mots minable ?) », Kalays nous expliqua les règles d’un jeu dont les nom m’échappe, le « jungle speed » ayant été volé par un gueux (les noms de Jecht et Kaze ont circulé, mais je ne ferai pas le délateur).
Nous jouâmes peu, malheureusement. Il est des gens à qui il faut expliquer les règles longtemps (et non, je ne suis pas le seul dans ce cas).
Nous fîmes nos adieux à Kalays, reprîmes les calèches en direction de l’est, puis nous fûmes abandonné par les trois personnes courageuses encore présentes : PrinceNoir, Elyra et Salia.
Sire
P.S : Merci pour ces deux excellents après-midi et soirées. Merci aussi pour le magnifique cadeau qui m’a été fait (surtout ne le précise pas, des fois que…). Je suppose que c’était dans l’optique que je mette fin à mes misérables jours. Pas de chance, il n’y avait pas de mode d’emploi (envoyez votre adresse, je me ferai un plaisir de vous indiquer son fonctionnement sur votre personne) . Je lui en réserve donc d’autres…
Merci
P.S 2 : Cette missive fut écrite à une heure plus que tardive hier soir. Merci de ne pas en vouloir à son gueux d’auteur si des faits avaient été déformés. D’ailleurs, il tient à préciser que les noms sont tous fictifs et les personnages cités n’ont aucun lien avec des personnes existantes ou ayant existé, ou ce serait alors quelque chose de fortuit. (ridicule… Ca essaie de reproduire ce qu’il se dit dans les films, et au final, ça ne donne rien)
P.S 3 : Pas relu, je bosse demain moi... (et bien vous auriez mieux fait de relire quand même, quitte à poster plus tard)
Bon, alors comme il fallait s’y attendre, ce texte ne vaut pas grand-chose. Comme certains grands vins s’améliorent avec le temps, nombre d’entre eux empirent. C’est votre cas Sire. Ce texte est un torchon, bourré de fautes.
L’humour que vous semblez vouloir distiller par petites touches subtiles ne donne rien.
Heureusement qu’il y a un semblant d’histoire pour relever le tout, mais je ne vous cacherais pas que la fin est plus que bâclée.
Bref… A corriger et refaire Sire.