bon un petit up pour vous parlez des differents faits d'armes
Nous avons :
-Écrasé Le G-nome il y a bien longtemps
-Repoussé une armée de renegats
-Vaincu les LTA , ARI , PROPHET , ^V^ , Fear
La Première
Gloire
ou
La Guerre des Petits et des Géants
I- Documents historiques, d'ordre épistolaire, miraculeusement sauvés des flammes:
Avertissement prophétique de Friedrarx, chef de la Horde Lettrée, à Jah, père spirituel des Gnomes:
Tremblez, immondes créatures!
La Horde des Grands s'apprête à déferler sur tous les vôtres!
Usez de vos sournoiseries et de vos galipettes de coquins, car c'est votre ultime salut!
Nous, les nobles, les forts, épancherons bientôt notre puissance, ivres de massacres, sur vos sales petites carcasses...
A très bientôt...
Friedrarx, chef de la Horde Lettrée, votre pire cauchemar!
Mouahahahaha !
Réponse de Jah:
Ainsi vos vils calomnies vous poussent jusqu'à nos terres, en notre lieu de repos... Mais cela ne se passera pas ainsi!
Nous, Fiers membres du G-nôme vous repousserons... Tout lettrés que vous puissiez vouloir être, vous ne pouvez rien face à la toute-puissance de mes fils réunis.... Tentez donc de vous imiscer en notre sanctuaire et le prix à en payer pour vous sera la damnation éternelle de Jah le tout-puissant...
Venez misérables, et apprenez à redouter la toute-puissance des gnomes..
Le G-nôme Vaincra!
Jah, Père spirituel de tous les gnomes!
Ultime menace de Friedrarx:
Je ne vois plus à présent de gnomes qui nous fasse front!
Vos terres émettent des plaintes à chacun de nos pas.
Acceptez votre défaite en nobles guerriers, ou la colère des Lettrés n'aura de cesse et notre puissance s'épanchera encore sur la race gnomique!
Vous avez été bons joueurs et votre honneur n'est point blessée.
Evitez que nous fassions de votre domaine une terre brûlée et meurtrie par l'Histoire.
Je veux simplement un message de Jah stipulant sa défaite, fusse-t-elle éphémère.
A bientôt, peut-être,
Ou ad eternam, pour votre plus grand cauchemar!
A vous de voir!
Mouahahaha!
Friedrarx
Epilogue:
Bonjour, Friedrarx, Chef de la Trop nombreuse armée de la Horde Lettrée....
En ce jour, moi Jah le Père, commandant des forces du G-nôme, reconnait ma défaite!
Nous avons été vaincus... Et cependant, je ne pense pas que l'on puisse dire que vous avez gagné, mais que nous avons été vaincu...
Le mérite que vous pouvez trouver dans cette victoire est en effet contrasté par votre nombre écrasant comparé au notre, et il était prévisible que nous défaillons devant des adversaires qui combattent à quatre contre un...
Toujours est-il que vos forces nous ont repoussé, quand bien même ce ne fût que grâce au nombre...
Nous avons perdu, et espérons un retrait de vos troupes...
Gnomement,
Jah, Père spirituel de tous les gnomes...
II- Texte Lyrique:
Lassée de la guerre contre les elfes, énervée par la Horde, usée par les alliances boiteuses, la Horde Lettrée prit conscience de la routine qui s'installait peu a peu dans ses rangs. Friedrarx, le chef bien aimé de ces trolls, taurens et orcs, forts, argneux et tout ce qui est élogieux, s'est alors éclipsé sur la plus haute tour du château, celle ou lui seul peut se rendre (éventuellement avec une femelle, ou autre). De là, il réfléchit, son crâne chaud était rafraîchit par le vent encore glacé du cataclysme qui s'était abattu récemment. Et là, il vit! Il vit ce que personne n'avait vu, au loin, a l'opposé du front elfe, des gnômes commençaient à se rassembler, cette engeance avait la prétention de vouloir, ou du moins de croire, affirmer un peu de leur puissance... mais celle-ci leur faisait défaut, se dit le vaillant chef troll. Il fallait remettre ces stupides demi-portions à leur place, ils croyaient qu'avoir achevé le titan faisait d'eux les plus forts, mais tous savaient intérieurement que la récompense des dieux étaient factice, c'était juste un peu de force divine pour compenser leur faiblesse innée.
Alors, il se leva, sortit du château et se mit en marche. Arrivé aux portes du bastion gnome, il prit sa voix la plus grave pour annoncer a toutes les oreilles attentives, que la Horde Lettrée allait déferler sur eux. Le ciel lui-même semblait prévenir les pathétiques créatures, leur disant de se tenir prêt, de donner le meilleur d'eux même, car ils en auraient besoin, mais le chef de l'élite des gnome (le G-nome) se raillait des paroles du puissant Friedrarx. Maintenant, il le regrette! Car nous nous sommes levés à notre tour, après une profonde méditation pour certains, une profonde exitation pour d'autres, nous sommes sortis de notre territoire, pour aller frapper l'ennemi sur le sien!
Notre armée était divisée, tous n'étaient pas présents, mais ceux qui étaient là sentaient le soutient des leurs, le vent chargé d'effluves de sang elfique. Alors nous avons avancé, en ordre. Nous y étions, les défenses des gnomes étaient face à nous! Alors les guerriers se mirent a entonner leurs chants belliqueux, pendant que les magiciens psalmodiaient, sous les feux ennemis. Nous avons subi des pertes, ou devrais-je dire, des sacrifices, car c'était indiscutable, l'ennemi était perdu, pas nous.
Sous les traits magiques, les demi-êtres tombaient des remparts, les haches brisaient les portes, et nous sommes entré! Une deferlante de guerriers invincibles, et de magiciens impassibles, envahit le château ennemi. Par cette force que donne l'expérience, tous furent battus, tous sans exeption, Jah leur chef, le courageux, le prétentieux, le fou, le gueux agonisait a genoux devant notre chef a tous. Alors, il admit sa défaite, ravalant son orgueil incongru, de la peur se mêlant a la haine.
Notre intelligence et notre force ont triomphé de la technologie chancelante et de la stupidité de ces nains sans tresses.
La Horde Lettrée, triomphante pour l'éternité.
In « Ce que fut la guerre, et ce qu'elle sera encore »,par Sieur Alahar le Troll,
diplomate autoproclamé, poète et chroniqueur
L'écrasement des renégats
ou
le sommet de la Gloire
Moi, Blattli, Shaman de la Horde Lettrée retranscrit ici le récit de ce que la postérité appellera la Guerre des 7 clans (copyright: Blattli) afin d'éviter la déformation de la vérité historique par les récits biaisés de nos ennemis; vérité que l'on pourra qualifier de sérieuse raclée, mais n'anticipons pas... Je jure donc de me confiner à la plus stricte objectivité sauf là où ça ne me plaît pas et où j'ai du mal avec le récit. Tout commença lorsque...
...Friedrarx s'éveilla, le Songe s'effaçant peu à peu dans la réalité. A l'instar des jours précédents seule la sensation d'urgence restait, se faisant toujours plus pressante. D'urgence et de menace. Résistant à une première impulsion, il décida de ne pas visiter les Shamans et Voyants du clan; il savait que leurs conseils seraient identiques à ceux des jours précédents et n'était certes pas d'humeur à recevoir un sermon en règle sur les vertus de la patience. Il s'éclipsa alors sur la plus haute tour du château, celle où lui seul peut aller (éventuellement avec une femelle, ou autre) De là, il réfléchit. (Merci Alahar) Ce qui ne l'avança pas à grand-chose, si ce n'est à quelques réflexions philosophiques incompréhensibles pour le commun des mortels. L'origine de son malaise ne venait pas tant du fait que la Horde Lettrée puisse être menacée, la valeur d'un guerrier se jugeant à celle de ses ennemis. Non, le problème était qu'il ne pouvait voir d'où cette menace émanait. Au Nord, la frontière de la zone des clans n'était pas loin, rendant improbable toute attaque. A l'Est, nos amis Taurens repoussaient la nuée d'elfes qui contestait leurs terres. Au Sud, le G-nôme avait été vaincu, sa terre d'origine occupée; il se remettait de ses blessures. Restait l'Ouest, où quelques clans avaient subit l'ire de la Horde Lettrée et avaient rapidement été vaincus. Bref Friedrarx allait décider de se faire une petite beuverie pour oublier tout ça quand un messager vint lui apporter un courrier de la part de la Spirale. La lecture lui amena le sourire aux lèvres...
Les tambours de guerre retentirent et ils répondirent à leur appel. Au cri de "tous au château" les membres du clan affluèrent: guerriers, combattant, mages, shamans, tous qui avaient à coeur de défendre leurs terres ancestrales.
Zyxwuvt s'éveilla, et il le regretta aussitôt. Son esprit encore embrumé fit trois constatations: premièrement il aurait dû prendre un téléporteur pour sa visite chez ses anciens amis du G-nôme plutôt que de couper par les champs. Deuxièmement il n'aurait pas dû s'endormir dans cette plaine si calme, si accueillante , si tranquille. Enfin il allait mourir. Il se tenait en effet entre deux armées dont, habitué à voyager, il reconnaissait aisément les banières. D'un côté se trouvait la Horde Lettrée, rassemblée presque au complet avec quelques uns de leurs alliés des Trolls tueurs de la Prophétie. En face une armée plus diverse et bien plus nombreuse. Pas moins de cinq clans s'étaient rassemblés à la demande de Hawknain, chef des Aéries, les Aéries bien sûr, les Traqueurs Assassins, les Prophetes, les membres de l'Alliance et les Yevons. Le problème de Zyxwuvt était d'être un gnôme mort-vivant. Les elfes et paladins reconnaissent instinctivement un mort-vivant à des lieues de distance et quelques uns lancèrent quelques sorts et projectiles en direction de l'ennemi imbécile qui s'était trop avancé. De l'autre côté quelques membres de la Horde voyant une demi portion sur patte reconnurent un gnôme et firent feu. La déflagration qui s'en suivit fut du plus bel effet et Zyxwut, première et seule victime civile de cette guerre, marqua le début des hostilités.
Blattli contemplait la mélée du haut de la colline cherchant où allait se porter son prochain combat. Depuis deux jours la guerre faisait rage, et rien ne montrait un relâchement où que son regard portât. Ici et là les éléments se déchaînaient, le bruit l'emportant de peu sur le perpétuel fracas des armes. Il était surpris de constater une telle vaillance chez certains de ses adversaires, par trois fois déjà aujourd'hui il avait échappé de peu à la mort. De nombreux camarades mourraient, mais leur infatigable esprit revenait toujours dans un nouveau corps. Plus important encore, les ennemis tombaient en nombre plus imposant. Et ils reculaient. Indubitablement.
Friedrarx jubilait intérieurement. Rarement la satisfaction de diriger son clan avait été plus grande, la Horde Lettrée avait répondu à son appel bien au-delà de ses attentes et l'entraide avait conduit à une grande victoire. Ceci lui importait beaucoup plus que la simple soumission de Hawknain et des clans ennemis, leur trêve ne durerait qu'un temps et ils reviendraient à la charge, il le savait. Mais il était sûr de la capacité de la Horde Lettrée à relever les défis.
In « La Guerre des sept clans », par Blattli
Le troisième texte viendra dès qu'il sera ecrit