Mikäu était seul, dans la chambre d'une auberge où il venait se reposer presque chaque soir, assis sur son lit, il terminait de relire l'un de ses écrits, celui là même qui était parut dans la Gazette du Lorndor .
Citer:
Je l'ai appréciée dès que je l'ai vue,
Une Elfe magnifique et pacifiste,
Mais quand je l'aperçois, je suis triste,
Car son cœur est pris par un inconnu.
Mais notre amour paraît impossible,
Car même si son cœur était libre,
La haine séculaire due aux guerres,
Qui faisait de nous des ennemis hier,
Empêchent nos cœurs de se rapprocher,
Tandis qu'elle aime ses anciens alliés.
Cette personne pour laquelle elle s'est éprise,
N'est autre que l'un de mes meilleurs amis,
Son amour pour lui pourrait nous faire ennemis,
Et je pourrais considérer cela comme traitrise.
Mais il n'en est rien, car cet humain,
Restera pour toujours mon vil copain.
Cette Elfe, pour laquelle, j'ai écrit ce poème,
Ne voudra sans doute pas de moi,
Mais le fait est que j'y crois,
Cette Elfe que j'aime, elle se nomme Curwen.