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je suis eragon15, un elfe magicien lvl9 et j'ai actuellement 439xp.Je suis membres du clan de l'Abbaye de l'Emrek et fier de l'etre.
je joue depuis début aout.
voici mon RP:
L’attaque des WGT.
1.Le commencement
Tout commença un jour comme les autres. Notre clan, l’Abbaye de l’Emreck, poursuivait ses activités habituelles : les uns combattaient soignaient ou les deux à la fois pendant que les autres, préféraient partir voyager et réalisaient des quêtes à leur bon profit. Moi, je rôdais toujours autour du château pour aider ou soigner mes alliés ayant besoin de soins et même parfois les informer sur des objectifs quelconques. Marcelmage, le dirigeant de notre peuplade, revenait de sa chasse.
« Alors chef, la chasse resta aussi bonne que d’habitude ? »
« Non…Les forets étaient aussi désertiques que les vieilles ruines antiques des contrées non explorées du Lorndor. Cela me paraît bien étrange. Je ne prévois rien de bon. »
Il s’éloigna d’un air pensif.
2.L’alerte.
Le lendemain, je me levai lorsque le soleil commençait seulement à se lever. Je décidais de rester sur mon lit pour admirer cette merveilleuse journée qui débutait. J’entendis alors un bruit au seuil de ma porte. Quelqu’un toquait. Lorsque je répondis d’entrer, la porte s’ouvrait. C’était Séphiroth. Un nain, certes, mais aussi un valeureux guerrier et également un fidèle compagnon sur qui l’on peut toujours compter.
« Je ne te dérange pas ? »
« Non, pas du tout. Entre. »
« Je viens de la part du chef, il nous demande de nous rassembler dans la grande cour du château. »
« J’arrive. Le temps de m’équiper. »
Lorsque je descendis de la tour pour entrer dans le hall de l’Abbaye, Le son de la cloche d’alerte se fit entendre. Il fallait se rendre dans la salle de réunion. À la place, je continuai ma route pour me rendre dans la grande cour où l’on m’avait ordonné de me rendre. Beaucoup de membres de l’Abbaye m’y attendaient. Parmi eux se trouvaient Marcelmage évidemment, BéHodouble, Mortecouille, Séphiroth, Shun et quelques autres. Marcelmage éleva la voix :
« Mes amis, l’heure est grave ! Une armée dont la bannière est celle des WGT, d’après mes ressources, approche.Ils ont déjà fait d’immenses dégâts auparavant et viendraient, paraît-il, régler leurs comptes. Le Lorndor est devenu pour eux beaucoup trop calme à leur goût et viendraient réveiller le chaos ici.Selon les nouvelles, ils auraient déjà réduit à néant certains clans assez puissants à quelques dizaines de lieues d’ici. On peut déjà apercevoir leurs colonies du haut des murailles. J’ai envoyé un messager pour leur demander ce qu’ils nous veulent exactement et ce qu’ils viennent faire ici. Normalement… »
À ce moment, les portes du château s’ouvrirent. Le messager que Marcelmage avait envoyé venait de revenir à l’instant, une flèche plantée dans l’épaule. Notre chef se tu et s’empressa de courir vers lui pour le soigner. Pendant qu’il le soignait, le messager lui déclara les nouvelles :
« Chef! Nos pires craintes se sont révélées être exactes !Les WGT ont déclaré la guerre à tous les clans situés dans nos régions ! Ils disent aussi qu’ils seront sans pitié avec ceux qui s’opposeront à eux ou pas ! Ils ne nous laissent que peu de temps pour nous organiser et appeler des alliés ! »
Notre chef se retourna d’un air grave. Il cria d’une vois pressante :
« Faites sonner les cloches ! Rassemblez toute l’Abbaye et dites-leur de s’équiper de leurs meilleures armes et armures ! Faites rassembler les soigneurs ; nous en aurons grandement besoin ! Dites à tous nos messagers d’avertir nos alliés que nous sommes attaqué et qu’ils leur demandent de nous venir en aide ! Nous allons sûrement entrer dans l’une des plus grandes batailles de l’histoire du Lorndor ! »
Pendant qu’il donnait les ordres, étant armé depuis le levé du soleil, je me plaçai dans le groupe des soigneurs. Le commandant qui tenait notre groupe était Mortecouille. Je n’avais pas l’honneur d’être dans l’armée de Marcelmage étant celui des attaquants. Mortecouille étant pourtant déjà pour moi un guerrier « mythique ». Heureusement, Séphiroth était avec nous. Malgré la peur et la tension, il prenait les réalités du bon coté et d’un air joyeux. S’il n’était pas là, …Je pense que tout le monde serait démoralisé au point de se suicider ou de mourir de peur. D’où nous étions, on voyait l’armée gigantesque, colossale de l’ennemi s’avancer à une vitesse plus lente que ce que nous pensions. Dans quelques heures, déjà, ils seront là.
3.Que le carnage commence.
Dans le groupe où nous étions, nous avions pour rôle de soigner tous les alliés ayant besoin de soins et attaquer les faibles ennemis à notre taille. La porte s’ouvrit et la première formation, avec en tête de groupe Marcelmage et sa monture, sortit, suivaient les deux, trois, quatre et cinquième formations.De là où j’étais, j’avais la chance de voir notre Abbaye se former de façon à résister le plus longtemps possible, en attendant l’arrivée de nos alliés. Mortecouille s’avança :
« Mes amis, aujourd’hui te les jours, peut-être même les semaines qui suivent, j’attends de vous un travail très minutieux. Soignez tous nos alliés et tuez les ennemis assez faibles pour vous. Evitez-les s’ils sont trop forts par contre. Dans quelques instants, nous allons entrer en action. Et si nous devons perdre cette guerre, nous nous serons au moins battus vaillement et courageusement. Ne fuyez pas car ce sera votre réputation qui entrera en jeu... GLOIRE ET HONNEUR à Marcelmage ! »
Une ovation éclata dans notre groupe. Voulant plus que jamais tester et prouver mes talents de magicien au service de notre roi bien-aimé,j’étais prêts à partir dans les plaines dévastées par les WGT.À ce même instant, tout le monde se tu :la bataille venait de commençait.On entendait les entrechoquements d’épée et de boucliers, le sifflement des flèches et le carnage des sorts de mort ou d’élément. Devant nous, les portes s’ouvraient. Nous allions bientôt partir sur le champ de bataille. Séphiroth se plaça à côté de moi et me dit :
« Que le carnage commence mon cher Eragon ! »
Il dit cela en ricanant et moi je lui répondis en acquiescant. Juste après, nous fonçâmes vers les plaines désolées, ravagées et attristées, prêts à l’attaque.
4.La première vague.
Lorsque je sortais, suivis par tous mes compagnons, dans les champs externes au château, je sentais tout de suite que l’atmosphère avait changé. C’était une atmosphère de mort et de crainte. Quelques blessés demandaient déjà des soins. Je fus l’un des premiers à soigner quelqu’un. Nous continuâmes notre route vers le conflit pendant plusieurs minutes. Tout à coup, je ne sais plus très bien ce qui se passa, j’entendis un « chargeeeeeeez !!!!!! » , suivi d’un pas accéléré. Je courai alors pour foncer en plein cœur de la bataille. C’était le carnage. Des corps gémissaient, du sang giclait ! J’entrepris alors mon travail et commençai à soigner mes alliés. Comme ils étaient assez nombreux à demander des soins, je leur donnais juste assez de force pour pouvoir se battre de nouveau. J’approchais d’un blessé lorsque j’entendis un sifflement. J’eus juste le temps de reculer pour ne pas être mortellement blessé par le sort qu’on venait de me jeter. Je fus malgré touché à l’épaule.J’allais m’évanouir quand un humain dont je ne connais pas le nom s’approcha de moi et me soigna. En me levant, je le remerciais avant de repartir soigner les autres.Sur ma route, un humain s’opposa à ma route.
« Ton chemin s’arrête ici, mon jeune elfe ! »
« Ne me sous-estime pas, je suis bien plus fort que ce que tu ne crois. »
En disant cela, je savais qu’il était bien plus fort que moi.Malgré sa puissance, quand il m’attaquait, ses coups n’étaient point rapides. Je l’esquivais avec une habileté qui paraissait pour lui surnaturelle. Je lui lançai un sort qui lui frappa le visage de plein fouet.
« Pas mal ! Tu veux jouer à ça ? Voyons voir ce que tu pourras faire face à ça ! »
Il concentra dans sa main, une boule de glace, à mon grand étonnement. Quand il la lança, elle était tellement rapide que j’eus peine à l’éviter.
« Raté! Il faudra trouver autre chose ! »
Je venais d’esquiver son sort, mais il riait encore. Je me retournai alors, et, je vis la boule de glace foncer droit sur moi, lorsque, …Elle disparut. Je me retournai de nouveau et vis qu’une flèche était plantée dans la jambe de l’humain. Profitant de ce moment, je lançai un sort qui l’amocha gravement. Un autre sifflement, et une flèche vint se planter,cette fois,dans son cœur.J’entendis une voix derrière moi. C’était BéHoDouble. Un noble guerrier toujours à l’attaque.
« Fais un peu plus attention, Eragon ! Je ne serais pas toujours là pour te surveiller ! Essaie de rester vigilant. »
« Merci ! Je ne sais comment vous remercier ! »
Je repartais une fois de plus pour accomplir ma quête, blessant au passage quelques ennemis, dont en grande quantité, des humains. J’entendis alors le son du cor: on donnait l’ordre de se replier. À ce moment, le sifflement d’un sort de magie me parvint jusqu’aux oreilles. Cette fois, je ne pus l’éviter. Je ne me réveillerai que quelques heures plus tard.
5.Une nuit paisible.
Je me réveille enfin. Tout était calme. La lune était à son premier quart. J’étais allongé sur un lit. Sûrement était-ce un de ceux de l’infirmerie de l’Abbaye. Je n’étais pas le seul. Autour de moi ;plusieurs têtes m’étaient connues. Je vis la porte s’ouvrir. Aubry faisait irruption. C’est un ancien membre de l’alliance. Il l’a quittée en quête de devenir un alchimiste de renommée. Il est venu en ces moments pour nous prescrire des potions, élixirs, …Étant assez vif, pour moi, je décidai de quitter le dortoir pour me rendre dans ma chambre. À peine sorti,une voix m’appelait.C’était Mortecouille, le chef de ma division.
« Que s’est-il passé, Monsieur ? »
« La tour de guet nous a signalé une deuxième vague d’ennemis. Sûrement que celle que nous venions d’entamer était une armée d’envoi pour évaluer notre quantité militaire. Autre chose ? »
« Oui, Monsieur.Que s’est-il passé après que je me sois évanoui ? »
« Marcelmage t’a trouvé gémissant à terre. Il t’a pris sur sa monture pour te ramener ici. Maintenant, va dormir. Demain, nous aurons besoin de toutes nos forces pour vaincre les WGT.
Je rentrai dans ma chambre, pensant à toutes les victimes qu’il y aura dans la bataille de demain. De ma fenêtre, je pouvais apercevoir les armées ennemies augmenter à vue d’œil. Du courage,il nous en faudra pour aller nous battre contre une armée trois fois plus nombreuse que nous…
6.Un nouvel espoir.
Le matin, de bonne heure, je levai. Deux semaines déjà s’étaient écoulées depuis que nous étions entrés en guerre et les alliés n’étaient toujours pas arrivés. Je me dirigeais vers la grande cour pour prendre un bol d’air. Dehors, je vis Marcelmage, BéHoDouble, et Mortecouille dans une conversation qui m’avait l’air assez sérieux. Je m’approchais, mais, en me voyant, ils séparèrent ne voulant pas que j’écoute ce qu’ils avaient à dire. Puis, la porte de l’enceinte s’ouvrit. Un messager porteur de bonne nouvelle arriva. Il se tourna vers Marcelmage.
« Marcelmage, je présume ? »
« Exact ! À qui ai-je l’honneur ? »
« Furio, Monsieur.Je suis l’ambassadeur des [ALLIANCE].Nous ne sommes non loin d’ici et allons arriver dans une heure tout au plus. On nous a également signalé que les clans [APHC] et [EMPEREUR] viennent nous aider à terrasser les WGT. »A ce moment,on pouvait lire dans les yeux de Marcelmage qu’un nouvel espoir renaissait.Il ordonna alors que l’on prépare un grand baquet dans la grande salle avec le meilleur de nos vins et les viandes et fruits de plus grande qualité que nous possédions pour accueillir avec grande joie nos alliés dans notre humble Abbaye. Ce soir sera le premier soir où l’on pourra se lâcher et se déstresser un peu depuis que nous sommes entrés en guerre.Partout où l’on voyageait dans l’Abbaye, on pouvait remarquer la joie et la bonne humeur avec laquelle les membres de l’Abbaye préparaient le festin.
7.Le banquet.
Le soir allait débuter.Les ennemis n’attaquaient pas. Sans doute préparaient-ils une technique pour mieux résister maintenant que les alliés allaient arriver. Quoi qu’il en soit, cette soirée allait être très joyeuse et je ne voulais pas rester préoccupé par autre chose.Marcelmage entra dans la grande salle pour constater les faits. Diagnostic :tout était prêt. Il éleva la voix :
« Bien! Chers amis, je veux que vous profitiez de cette soirée pour vous détendre. Car demain,déjà,nous repartons à l’attaque.Dans quelques instants, nous allons accueillir les alliances venues nous aider.Les [B.F.], qui sont de vieux alliés, nous ont déclaré qu’ils ne viendraient pas pour des raisons non communiquées.Voilà. »
C’était la deuxième ovation de joie que j’entendais. Mais cette fois-ci, c’était une ovation générale.Les portes de l’Abbaye s’ouvrirent. Derrière s’étendaient d’immenses armées. Elles entrèrent d’un air joyeux. Quand tout le monde fut rentré, Marcelmage salua respectueusement les chefs des alliances venues nous aider et puis monta sur une estrade pour faire sa déclaration.
« Elfes, elfettes, humains, humaines, nains, naines et undeads, c’est avec un immense plaisir que nous vous accueillions dans notre Abbaye. Pendant cette nuit, saoulez-vous, détendez-vous, mangez, faites ce qui vous chante ! Si vous avez besoin de quelque chose, n’hésitez pas à vous renseigner. Alors, bonne soirée et bon festin à tous ! »
8.La surprise.
Le lendemain, nous nous levions d’un air heureux car maintenant que les alliés étaient là,nous pensions que plus rien ne pouvait nous arrêter.Nous pensions…
Dehors, tout le monde était agité.Les généraux préparaient déjà leurs armées pour partir à la bataille.Moi, j’avais décidé de rester dans l’Abbaye avec quelques autres personnes au cas où l’envahisseur profiterait de notre absence au château pour tenter un piège.Une fois que tout le monde fut parti, je décidais d’aller en haut de la tour de guet. De là, je crus que j’allais attraper une crise cardiaque. Les [B.F.], qui sont nos plus vieux alliés, étaient en position d’attaque face à nous. Ils nous avaient trahi ! J’étais pris d’une telle colère que je lançais des sorts de magie d’où j’étais. Inutilement bien sûr. Maintenant que les WGT ont eux aussi des alliés, ils sont de nouveau plus nombreux que nous. Cela me désolait de voir un tel carnage. Environ une heure plus tard, un bruit sourd se faisait entendre des portes des murailles. Des membres des WGT et des [B.F.] nous avaient pris d’assaut. Le temps de descendre, la porte avait déjà cédé à leur lutte. Les ennemis n’étaient que peu nombreux, mais d’une puissance redoutable. Ils étaient tellement forts que nous avions beau les blesser, ils ne subissaient rien. Ils avaient commencé à abattre les murailles. C’était un spectacle désolant. Nos ennemis détruisaient tout dans l’Abbaye elle-même et nous, nous ne pouvions rien faire. Malgré cela, nous nous acharnions tout de même et avions réussis à en tuer trois et en blesser beaucoup. Mais il en restait encore pas mal. Elk, qui était un ancien membre des [B.F.], qui a rejoint notre Abbaye pou notre coopérativité et notre enthousiasme, n’était non loin moi.
« Elk ! Cours jusqu’à la tour d’alerte et préviens tout le monde de revenir nous aider »
Il me répondit d’un signe et partit sur le champs. Déjà quelques minutes plus tard, la cloche sonnait et les alliés revinrent. Une fois revenus, nous ne miment pas longtemps à vaincre nos assaillants nous ayant pris par surprise. Cependant, ils avaient fait de sérieux dégâts et les ennemis commençaient à avancer vers notre château pour nos anéantir. Lorsqu’ils furent à proximité du château, nous pensâmes que tout était perdu.
9.La dernière chance.
Lorsque les armées adverses eurent atteint le château, nous nous combattions avec fierté et bravoure. Mais nous savions que, l’ennemi étant plus fort et plus nombreux que nous, nous n’avions aucune chance. Les WGT et les [B.F.] gagnaient et avançaient sur nos terres. Le château était en train de se fit détruire par les WGT. La lueur d’espoir qui était en nous s’éteignait peu à peu. Tout à coup, le son d’un cor se fit entendre vers l’ouest des ruines de notre château. La bannière m’était inconnue, mais les autres semblaient les connaître. Il s’agissait en fait des [C.G.]. Ils venaient sûrement nous aider car certains WGT fuyaient. Ils arrivaient à une vitesse plus qu’inouïs. Dès lors, la chance tourna de notre côté. Quelques heures plus tard, quand le soleil commençait à se coucher, la bataille fut remportée par nous. Les chefs de clans entreprirent alors une conversation après que tout le monde se fut calmé de sa joie d’avoir gagné la bataille. Marcelmage s’avança et dit :
« Chers et chères compagnons, nous sommes nous aussi également très fiers d’avoir gagné cette bataille. Je vous félicite pour êtres restés loyaux et nous avoir fait confiance. Mais nos assaillants ont tout de même réussi à détruire notre château. Aussi avons-nous décidé de partir détruire le château des [B.F.], étant donné que nous n’avons plus rien à perdre mis à part nos vies. Ceci est notre dernière chance de pouvoir reconstruire notre château en toute tranquillité et pour pouvoir continuer à vivre sans souci. Nous partirons dès que le soleil se sera couché avec tous les volontaires. Que tous ceux qui se portent volontaires s’avancent ? »
Certaines personnes, qui venaient d’autres clans sûrement car je ne les connaissait pas, s’avancèrent. De notre Abbaye, s’avança BéHoDouble.
« Moi je viendrais ! »
Ensuite, Mortecouille s’avança aussi.
« Moi également »
Une voix grave sortait de la foule. C’était Séphiroth.
« Jamais je ne laisserai nos territoires à des gens qui me contredissent, moi et l’Abbaye ! »
Ce fut ensuite mon tour.
« Si Séphiroth y va, moi aussi j’y vais ! »
Quelques personnes s’avancèrent encore, puis, toute la foule se porta volontaire. Étant satisfait, Marcelmage déclara :
« Bien, nous allons pouvoir partir après nous être organisé.Prenez vos Montures si vous en avez ! Il est temps d’exterminer la vermine qui habite encore en nos lieux saints et purs! »
Toute la foule cria de joie et partit tout de suite se préparer avec ce que l’on retrouvait dans les ruines du château.
10.Gloire et liberté.
La nuit approchait. Nous étions où se dressait, il y a quelques heures, le hall de l’Abbaye. Le chef des [C.G.] nous donnait les instructions. Nous allons avancer en ligne, puis, encercler leur château pour le détruire. Nous le ferons cette nuit pour profiter de leur manque d’unités militaires. Marcelmage donna l’ordre de départ. Mon cœur battait. Une sensation s’emparait de moi. Une sensation assez agréable, tel un immortel vainquant toute une armée à lui tout seul. Nous commencions à avancer. Dans les plaines, les cadavres recouvraient le sol abîmé par les ennemis. Nous marchâmes ainsi pendant vingt bonnes minutes. Nous nous arrêtâmes à environ un quart de lieue du château des [B.F.]. Le chef des [C.G.] s’avança et défila devant tout le monde en criant :
« Compagnons, ce soir est notre dernière chance de gagner cette guerre ! Soyez braves ! Soyez loyaux et montrez-vous sans pitié avec eux ! Et si nous devons perdre cette guerre, ils nous voleront peut-être notre vie, mais ils ne nous voleront pas, NOTRE GLOIRE ET NOTRE LIBERTE !!! »
Après ça, tout le monde fonça droit sur le château. Nos ennemis devaient sûrement avoir remarqué notre présence car on entendait la cloche sonner. Nous étions assez près du château. Nous l’entourions maintenant. [B.F.] ne sortaient pas de leur château avouant sûrement leur infériorité d’un point de vue unités militaire. Nous commençâmes par détruire les tours et bâtiments les plus faciles à atteindre par la magie. Nous utilisions une combinaison de glace et de feu pour éclater les bâtiments. Les archers, eux, s’occupaient de tuer les quelques résistants qui s’opposaient à nous. Dans le ciel, on pouvait entendre le battement des ailes des montures de ceux qui en avaient. Seuls ceux qui en possédaient résistaient encore assez. Mais en vain. Nous étions beaucoup trop nombreux pour eux. Une fois les tours et les bâtiments détruits, leur château était sans défenses. Il ne restait plus qu’à le détruire et faire regretter aux [B.F.] d’être nés. Dès que nous pénétrâmes dans la ville, nous saccageâmes et pillâmes tout. Hommes, guerriers, maisons, bâtiments,végétation,…Nous épargnions juste la vie des femmes et enfants qui ne s’opposaient pas à notre route. Pendant plusieurs heures, nous ne fîmes que ça. Lorsque tout à coup, la victoire sonnait. Nous avions gagné ! Tout le monde criait, riait, dansait, chantait ! Je n’en reviens pas ! Nous avions gagné la guerre contre les WGT et les [B.F.] ! Nous venions de remporter une victoire contre une armés qui était au début deux voire trois fois plus nombreuse que nous ! J’étais tellement content de notre victoire que je pris dans les bras un nain que je ne connaissais pas et je commençai à danser avec ! Lui n’arrêtait pas de jurer et de m’ordonner de le laisser descendre. Lorsque je le fis en m’excusant, il repartait en grognant.
« Des excuses ! Des excuses ! Je vais t’en foutre, moi, des excuses ! »
Toutes les semaines qui suivirent furent accompagnées de rires et de joie. Tous les membres de l’Abbaye et les alliés reconstruirent avec joie notre grande et antique Abbaye de l’Emreck.
Le Lorndor pouvait enfin respirer de nouveau l’air pur.
Le Lorndor était libre.
Eragon
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