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Un bruit assourdissant me fit sursauté et m'extirpa de ma somnolence.Second bruit sourd suivis d'un silence de plomb...
Un déchirement, le ciel semblait s'emflammer,puis,un hurlement,suivit de millier d'autres .
J'ouvris les yeux me relevai et vis par dessus la muraille blanche.Une marée noire grouillait au pied des murailles.Le bruit sourd retentit une troisieme fois a mes oreilles,et attiras mon regard.Un bêlier,immense tenu par des gnoll enchainé se balancait d'avant en arriere pour attqué la porte d'acier qui protégeait notre cité.
Un regard vers la cité blanche me fit prendre l'importance de cette guerre;si nous la perdions,toute notre idéologie de lumiere serait anéantie...
Malgré la discrimination à mon égars,j'aimais cette cité,ou je vécu,ou j'ai aimé.
Cette discrimination,fruit d'une simple différence de peau,était immense,tous les elfes et humains qui me croisaient me fuyaient du regard et s'écartaient légerement du chemin au moment du croisement.
Haine,rien qu'en pensant a ce souvenir,la haine remontait,une masse de fureur noire commancait a faire surface.
Ma jeunesse se résumait en deux mots,Solitude,Haine.
La porte explosa,la poussiere retomba,la masse noire se rua dans le trou béant de la muraille,la défense,dérisoire face a cette armée démoniaque se precipita en avant,tentant de retenir cette arrivée hordeuse.La cité était comdamnée.Une idée me vint,choisir un camps,vite,un éclat rouge passa dans mes yeux,ma peau devint noire des ténebres.Ce fut leur fin,aux allianceux,leur culte de leur soi disante lumiere.La Fin.
Une dague dans chaque main,tournoiement sur moi meme,ouvrant et tranchant des gorges,des ventres et des visages.Le sang gicla,eclaboussant mon visage et mes main de liquide chaud.
Les démons arrivaient,mais se stopperent a ma vue.
Un sourir de Démon prit mon visage,les nouveaux arrivants me regardèrent,se demandant dans quel camps j'étais.J'étais sauvé...
Clin d'oeil aux orcs présents et je disparu dans les tenebres de la tours non-loin.Les peaux vertes haussèrent les épaules et rejoingnerent la boucherie proches sur les pretres de la lumiere.
la nuit était venue.J'était dehors,soupir de soulagemement,j'ai échappé a cette vermine verte.Mais maintenant,J'étais seul...Sans allié,sans amis,sans proche,mais j'étais libre,l'aventure commencait...
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Ig : Shadeas
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