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 Sujet du message: Chronique de Vayne
MessagePublié: Ven 08 Août, 2008 15:52 
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Je me nomme Vayne, 25 ans et je suis sur le point de mourir, pourquoi la vie est-elle si courte, pourquoi …

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Mon plus lointain souvenir remonte un peu avant ma fuite de chez mes parents, à l’âge de raison.

En ce temps là j’avais à peu près 7 ans, je demeurais dans un petit village de paysans qui ne vivaient que de leur récolte, ils n’avaient aucun autre objectif que de travailler leur terres et de payer leur taxe au maître des lieux, le seigneur de l’époque, le tyrannique et gourmand Moktak le noir.

Mes soi-disant parents biologiques étaient un couple de gringalets humains, faméliques et faibles, petits et à la peau marquée par les heures passés sous le soleil à cultiver leur terre presque stérile.

Mais je savais que je n’étais pas leur fils, comment était-il possible que je puisse être si différent d’eux et de mes 5 frères et sœurs bâtis sur le même modèle que leur parent.

J’étais tout leur contraire, malgré mon jeune âge on sentait que mes épaules deviendraient solides et que j’étais déjà robuste, amené à devenir un grand gaillard bien bâti dans un futur proche.

J’étais dépourvu de cheveux et ma peau était de la blancheur d’un petit matin d’hiver, aussi blanche que de la neige.

Une marque recouvrait tout mon corps et venait faire contraste avec ma blancheur de peau, et ça ne pouvait pas être une tache de naissance vu la grandeur et la forme bien dessinée qui parcourait mon visage mon cou, mes pectoraux naissants de jeune homme et un peu plus haut que mon nombril ; elle était étrange et suscitait la peur des villageois qui se méfiaient de moi.

Ils avaient peur de moi et leurs enfants imitaient les réactions de leur parents, j’étais rejeté de tous même de mes pseudo frères et sœurs ; mes parents quand à eux se moquaient bien de moi tant que je travaillais pour eux et que je ne me montrais pas trop dans le village.

Ils avaient tous trop peu d’ambition, secrètement je rêvais de vivre autre chose, je n’étais pas fait pour être paysans et je ne comptais pas rester ici éternellement.


Je voulais savoir qui j'étais réellement, d'ou je venais si ce n'était pas d'ici.


Finalement un soir je choisis de prendre les devant de mon destin qui ne serait pas celui d’un paysan faible et esclave de sa terre, et d’un seigneur qui soutirait leur récolte.

Il en était hors de question ; n’ayant aucun bien matériel et aucune attache sentimentale ici je partis sans même me retourner alors que je n’étais encore qu’un petit homme.

Fini la corvée du champ, finis les regards haineux sur ma personne, dorénavant je déciderai moi-même de ma vie.

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Dernière édition par vayne le Jeu 14 Août, 2008 3:28, édité 1 fois au total.

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MessagePublié: Jeu 14 Août, 2008 3:26 
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A peine sorti du village qui m’avait vu grandir, que je m’enfonçais dans la forêt maudite.
Je me sentais attiré par elle, et je voulais savoir si tout ce qu’on disait sur elle était fondé ou non.

J’en avais entendu un paquet d’histoires sur elle, certains disaient que cette forêt renfermait les plus effroyables créatures ayant foulé le sol du Lordnor depuis que la vie y était apparue il y a bien vingt mille ans.

D’autres disaient que cette forêt était la résidence de vieux druides Humains, Elfes et Taurens et qu’il ne fallait pas troubler leur paix.
J’avançais à grand pas vers cette forêt, plein de courage et de curiosité et avec un brin d’excitation à l’idée de braver des interdits royaux ; car oui, y pénétrer y était strictement interdit.

J’avais les yeux grands ouverts, les arbres étaient de plus en plus présents et grands au fil de ma progression dans le cœur de la forêt.
J’entendis le ruissellent d’un ruisseau et me dirigeai donc vers celui-ci

La nature était belle et bien vivante, rien à voir avec ce que j’avais imaginé quand on m’en parlait et aucune trace de druide ou de créature farfelue, juste la nature qui régnait ici en maîtresse des lieux. Le cours d’eau devant moi était une petite rivière où le poisson abondait, un endroit idéal pour établir un campement de fortune.

Je mis ma main dans ma poche et j’en sortis un couteau de très petite taille.
Je souris car je l’avais subtilisé à mon père adoptif avant de partir en fouillant dans son placard, pour le peu qu’il s’en servait je ne culpabilisais pas et il me serrait très utile ici.

Et en effet ce couteau me servit par la suite, je fabriquais moult outils avec, une lance pour la pêche ou la chasse, un toit avec de grandes feuilles d’arbre.

J’étais très bien installé et je mangeais matin et soir le fruit de mes chasses ou de mes pêches.
Ce n’était pas la grande aventure que j’étais venu chercher, mais c’était toujours mieux que le travail aux champs. La forêt n’avait plus de secret pour moi, j’ai eu beau chercher dans tous les recoins, tout ce que les paysans m’avaient raconté était faux, pas de druides pas de créatures effrayantes, rien qu’une faune et une flore normal.

Au bout d’un moment la routine finit pas s’installer jusqu’au jour où une rencontre perturba cette tranquillité.
J’étais sur la piste d’un gros sanglier, je n’étais plus très loin de lui ; à force de vivre ici j’étais devenu un pisteur hors pair et un chasseur de qualité ; deux jours que je le pistais et la poursuite arrivait à son terme, la bête s’essoufflait et n’arrivait plus à me distancer.
Je m’approchais discrètement pour ne pas l'alarmer, me frayant un chemin dans les hautes herbes pour cacher ma présence, c’était vraiment un magnifique sanglier.

Je m’approchais encore un peu pour avoir plus de précisons lors de mon jet de lance et c’est là que je vis pour la première fois une étrange créature, à première vu un félin au pelage rouge avec d’étranges inscriptions sur son corps.

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J’étais tellement absorbé que j’en oubliais ma raison d’être ici.


Le sanglier lui n’avait pas oublié et m’ayant repéré, il joua sa dernière carte et chargea avec la force qui lui restait.

Le sol se mit à trembler, le sanglier arrivait sur moi avec l’espoir de survivre, pour lui c’était sa vie ou la mienne, et ça aurait été a vie si le grand félin n’avait pas bondit à ce moment là, toutes griffes dehors; et il le plaqua avec puissance au sol, l’immobilisant avec sa gueule et ses croc plantés dans le cou du sanglier.

Je me retrouvais paralysé quelques secondes, ce n’était pas passé loin.
Le félin commençait à manger et je m’approchai lentement, pesant chacun de mes mouvements pour ne pas être son dessert, deux jours de traque sans rien dans le ventre à par quelques fruits rouges des bois, mon ventre réclamait et je n’allais pas laisser toute la viande à ce félin, quitte à me battre avec pour lui chiper un petit morceau.

Une branche craqua sous mon poids mais le fauve ne releva même pas la tête ; j’étais pourtant à moins de 2 mètre de lui et là ce fut la surprise la plus totale.


"Humain pourquoi n’approches-tu pas toi aussi, il y a assez de viande pour toi petit homme. "


C’est peut être en cela que j’était différent de ma famille adoptive, au lieu de courir apeuré, ou au lieu de me mettre en garde, je m’approchais heureux mais toujours surpris de cette invitation, sortant mon couteau pour découper la viande ; c’est là que le carnassier me dit :


" C’est bien ce que je pensais petit homme, tu es différent des autres humains et tu peux m’entendre. "


Le félidé arrêta de manger, la bouche pleine de sang et me parla, alors que je découpais avec excitation de gros morceaux de chair dans le cadavre du sanglier prêt à l’ingurgiter ainsi.


" Tu as l’air d’avoir faim petit homme, mais ne serait-il pas préférable pour toi de la faire cuire, il n’est pas bon pour ta race de la manger ainsi. "


Je ne répondis pas, trop concentré à mastiquer ma viande

Le félin reprit lui aussi son festin, il était amusé par mes attitudes plus sauvageonnes que lui et me suivit depuis ce jour, pris d’affection pour le petit bonhomme courageux et fougueux que j’étais.

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MessagePublié: Lun 09 Fév, 2009 20:56 
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J’étais paisiblement endormi emmitouflé sous un drap de feuille, un grand félin non loin de moi se mit à ronronner de plaisir quand les premiers rayons de soleil le touchèrent de leurs douce chaleur de début de mâtiné, que ses rayons étaient agréables au contact.

C’était notre troisième année à tous les deux, ensemble dans cette forêt et peut être notre dernière, depuis quelques mois nous avions été forcés de déménager notre campement trois fois de suite.

La forêt n’était plus aussi calme qu’avant, nous nous faisions traquer comme tous les habitants de cette forêt par un envahisseur virulent, l’Homme…

Mon amie m’avait expliquée les raisons qu’ils avaient de nous pourchasser, j’avais fait l’erreur deux Hiver de suite de voler un peu de nourriture en dehors de la forêt dans le village ; je dirais maintenant ville de plus en plus proche de la forêt à présent, oui la deuxième raison était qu’ils agrandissaient leur territoire.
Le fauve m’expliqua que l’humanité ne savait pas se contenter de ses biens, qu’ils en voulaient toujours plus et qu’ils avaient besoin de plus d’espace et de plus de matière première qui se trouvait être « le bois », la forêt qui m’avait abrité jusque la rapetissait de jour en jour, l’Homme n’avait pas de pitié pour ses occupants, détruire l’habitation du peuple de la forêt ne suffisait pas il fallait aussi capturer ce peuple, pour en faire leurs esclaves, leur dîner ou tout simplement tuer par simple plaisir, ou comme ils disaient « chasser avec sportivité ».

La chasse qui pour moi était une nécessité pour survivre ou pour me défendre était pour eux un jeu…un simple jeux

Le grand félin se leva comme tous les matins le premier, mais cette fois bien plus rapidement qu’à son habitude et je le remarquai immédiatement.
J’ouvris les yeux sans tarder sentant qu’une chose dérangeait mon fidèle compagnon et je me hâta pour me lever et m’habiller.

Je fixai le Félin qui avait les oreilles à l’affût…mais à l’affût de quoi


« Petit Homme, ils sont nombreux cette fois »

Ayant fini de m’habiller, je m’armai de mon canifle et je le plantai sans hésitation dans le sol…avec acharnement je découpai une grosse meute de terre que je plaçai sur le foyer du feu d’hier pour l’écraser et cacher les traces d’un campement de fortune aux yeux de nos poursuivants bien que je savais qu’il ne leur faudrait pas beaucoup de temps pour nous repérer quoiqu’on fasse.

Les hommes me connaissaient, j’étais le petit voleur hivernale, trop inexpérimenté à l’époque et terrassé par la faim j’avais commis l’erreur de tuer un de leur chien de garde pour me défendre et je fit aussi l’erreur de leur laisser une empreinte ainsi que mon odeur corporelle dans la paille ou j’avais festoyé, qui a dit que la jeunesse n’avait que du bon.


« Partons »

Le fauve se leva complètement et regarda Vayne partir en courant avec agilité et rapidité entre les arbres de cette épaisse forêt, et prit sans perdre de temps son rythme

« Monte, on ira plus vite »
« Tu insinues que je cours lentement »

« Bien que différent de tes semblables spirituellement tu restes Humain petit homme, monte »

« Tu vas voir toi »


Un peu vexé de cette remarque j’accélérai de plus belle mais le félin me rattrapa vite et connaissant mon caractère de tête de mule, il fonça tête première sur mes jambes pour les faire céder, je fis un roulé boulé sur son dos et fut contraint d’apprécier la différence de rapidité entre le fauve et moi en m’accrochant comme je pouvais.

« Crâneur hehe »

« Je te l’avait dis tête brûlée »


Les deux compagnons même poursuivis gardaient leur sourire et leur bonne humeur. Mais la situation se compliqua légèrement

Le fauve surprit Vayne en se stoppant net, les quatre pâtes en position très agressives, le grand félin tourna sur lui-même


« Que se passe t’il ? »

« La forêt disparaît dans chacun des angles, je ne la sens plus, elle…elle a été complètement détruite, quand et comment je ne sais pas mais… »

« Suffit, arrête de dire n’importe quoi, comment une forêt entière peut disparaître en une nuit, puis je vois toujours plein de verdure, qu’est ce qui te fait dire ça »

« Je ne perçois pas le monde uniquement avec mes yeux humain contrairement à toi, crois moi, la forêt a disparu et les Humains nous entourent, ils…ils… font un rabattement des derniers survivant de la forêt et rasent les derniers arbres…nous sommes…les derniers ses dernier survivants petit Homme, c’est fini »


Je sautai sur le sol et me mis de dos au fauve et dis ceci

« Combien ? »

« 20 au Nord, 15 au Sud, 21 à l’Est, 13 à l’Ouest »

« Armés ? »

« Peut être, je sens aussi des tremblements bizarres, peut être une de leur créature de fer »


Le Fauve et Vayne se tournèrent au même moment avec de petits pas, Vayne vers le Sud Ouest et le fauve vers le Nord Est toujours dos à dos.

Vayne posa sa main au sol et sentit de légères vibrations, le Félin lui avait appris tout de son savoir qui venait du fin fond des âges, il sentit lui aussi la présence des hommes pas avec autant de précision que le Fauve mais il pouvait les sentir arriver.
Le grand Félin sentit le cœur de Vayne s’affoler et lui dit ceci


« La peur c’est naturel petit homme, tu peux te rendre sans combattre tu es un des leur petit, tu n’es pas de ma race déjà éteinte depuis longtemps, as tu peur petit ? »

Je souris lorsque j’entendis ses mots et je lui répondis ceci

« C’est autre chose que la peur qui anime mon être intérieur »

« Tu es vraiment étrange Petit Homme, c’est pour ça que je t’apprécie autant »


La discussion continuait alors que l’ennemi s’approchait de plus en plus de tout côtés.

« Petit Homme, ne m’en veux pas pour ce que je vais faire ; garde ton courage inébranlable, deviens fort et reste fidèle à tes convictions, toujours, tu es toi seul le maître de ton destin »

Je me retourna pour essayer de comprendre quelque chose sur son visage vu que je ne comprenais pas ses mots, mais…

« hein..qu….outchhh »

Le Félin me frappa légèrement et parla alors que je perdais conscience peu à peu

« Les Humains t’auraient tué si tu avais combattu, reste en vie Vayne, ils te feront prisonnier et moi qui sais ce que je deviendrai, survis l’épreuve qui va venir, ne perd pas ta combativité et va de l’avant »

« no…n… »



Le dernier truc que j’entendis se fut un rugissement d’une puissance phénoménale.

En effet les Humains étaient là scrutant le magnifique Fauve montrant toute sa splendeur et son arsenal de guerrier ; crocs et griffes dehors il patientait faisant des aller retours sur lui-même pour fixer chacun de ses adversaires.
Adversaires qui n’étaient pas de simples paysans mécontents mais des braconniers et des mercenaires armés jusqu’aux dents.

Le fauve ne regretta pas son choix d’avoir interdi le combat à Vayne qui aurait péri obligatoirement, ce genre d’individus ne connaissaient pas la pitié, tuer un enfant ne les gênaient pas, tout ce qui les intéressaient c’était l’argent qu’on leur avait promis pour la capture des espèces de cette forêt défunte.

Leurs yeux brillaient devant le grand fauve, ils brillaient de sournoiserie en pensant déjà à la coquette somme qu’ils allaient gagner en vendant la Fourrure, la Dentition ou encore les Griffes du dernier Grand Fauve Rouge sur cette terre.

Un Homme petit et mince comme la mort parla


« Les gars désarmez vous de vos lames et sortez les gourdins, je voudrais pas trouer cette magnifique fourrure, ça n’aurait plus la même valeur, hahaha »

Les hommes ne perdirent pas de temps et jetèrent tous leur lames pour les remplacer par de gros gourdin, ceux qui en avaient pas cassèrent quelques branches d‘arbres encore debout et se mirent tous à tournoyer autour du Fauve comme de vils charognards.

Certains impatients se jetèrent par grappe de deux ou trois sur le Félin et en payèrent le prix fort.
Il leur assena de violents coups de griffes qui les firent valdinguer a deux mètres de lui raids morts, le front vide de chair.


« Stop, on l’aura pas comme ça, cette saleté est puissante, mais je sais comment mater les gros chat, hein mon tout petit haha, vous la bas sortez tous vos cordes et vos arbalètes et fixez les cordes aux arbres, pareil au sud à l’est et au Nord, je veux 5 hommes sur le coup »

Les hommes désignés se hâtèrent pendant que les autres essayaient de contenir la bête avec des gourdins

« Vous allez faire quoi ? » demanda un jeune mercenaire

« Nous les braconniers nous sommes les amis des animaux hahaha et nous devons faire preuve d’une certaine cruauté pour les approcher et..hahaha leurs infliger nos mortelles caresses, ahaha que j’aime caresser les animaux…surtout leurs fourrures séparées de leur vilaine carcasse »


La cruauté pure était inscrite sur le visage du braconnier de petite taille qui donna les derniers ordres

« Aller les gars insérez vos flèches Harpons sur l’arbalète et tenez vous prêts »

Le Braconnier fixa le félin qui fit de même, il se savait prit au piège, bien qu’il aurait pu s’enfuir il accepta la Mort, la fuite n’étant pas dans ses coutumes

« En position… Feuuuuuuuuuuuuuuuuuu »

fiiiiiiiiiuuu fiiiiiiiiiiuuu fiiiiuuuuuuuuu

Les flèchent se plantèrent dans les pattes de l’animal qui s’ancra dans la douleur dans le sol

RRRRRHHHHHAAAAAOOOOooooooooo

Le Fauve ouvrit les yeux bien grands pour regarder la mort lui prendre la vie, il ne regretta aucun des moment de sa longue vie et bénit ses dieux d’avoir pu rencontrer un petit bonhomme des plus interessant

« A bientôt Vayne, ici ou ailleurs qui sait »

La main du sournois petit braconnier fit un geste et tout les hommes se ruèrent sur la Bête en criant pour caresser celle-ci d’une manière bien brutale armés de leur gourdin qui défonçait sous chaque coup l’ossature du Fauve qui perdit la vie dans d’horrible souffrance mais le cœur en paix.

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