Forum Heroes' Chronicles

gro-ork, une vie de haine et de guerre



Dans me jeunesse je me souviens que j’étais heureux. La vie dans les montagnes était paisible, quelque fois des gobelins venaient dans notre territoire mais les nains et les autres familles orques n’étaient jamais loin, ils ne restaient jamais plus d’une semaine vivant. Ce jour là, je n’avais que huitante saisons, j’étais parti afin d’essayer de capturer un Rill des aires que j’avais aperçu plusieurs fois auparavant. J’étais parti depuis bien une demi-heure, j’avais trouvé le nid de la bête mais elle n’était pas encor là, alors je me suis caché. Cinq minutes plus tard j’ai entendu un cri déchirant l’aire des bruits de combats en direction de chez moi, je ne savais pas encor me battre, j’avais peur. Je suis resté caché pendant une nuit. Le lendemain une fois sur que tout danger était écarté, je suis retourné chez moi, du sang, le bras de mon frère, la tête de ma mère, le corps de mon père transpercé par des pieux de bois et des marques d’épée sur tout son corps et à côté de lui ça hache, elle était enfoncée dans ce qui restai du corps d’un undead.
J’étais le seul survivant de ma famille, je pris la hache, mes parents m’avaient dit que si je voyais un cadavre non mangeable je devais impérativement le brûler sans quoi il deviendrait un undead, alors j’ai fais un tas avec les corps et j’ai jeté une torche dessus, j’ai jeté un dernier regard sur les corps qui brûlai et je suis parti. J’ai suivi les traces de la troupe d’undead jusqu'à ce que j’arrive devant une sorte de portail projetant des éclairs bleutés, j’avais entendu parler des portails de téléportations mais je n’en avais jamais vu, les traces de la troupe allaient droit dessus, alors je suis passé à travers.



L’endroit ou je me suis retrouvé était une grande plaine il n’y avait qu’un unique chemin et les trace de combats, des corps d’elfes et d’humain étaient sur le sol, à coté d’eux il y avait un crâne, un tibia et quelques côtes dépassant d’un tas verdâtre dégageant une odeur pestilentielle, comme pour ma famille j’ai brûlé les corps.
J’ai marché pendant une demi-journée, j’ai rencontré un elfe, je savais que ceux si n’aimai pas trop les orques, quand il m’a vu, il a sorti son épée et m’a crié « de quel clan est-tu? », je lui ai répondu que je n’en avais pas et que je poursuivais une troupe d’undead qui avait massacré ma famille. Il rangea son épée et vint me voir, je lui ai raconté mon histoire pendant que nous marchions, lorsque j’eus fini il me dit qu’il s’appelai Illidan et qu’il faisait partie de l’ordre des gardiens protecteurs, un clan qui combattait les undead, avec lui je me suis proposer de devenir gardien, je fus pris j’ai combattu le fléau undead avec mes frères d’armes.

gro-ork, la suite
Je venais de frapper d’une main de fer la dur pierre d’un repaire du mal, les archers défenseurs de ce château avaient riposté violemment et je me traînais difficilement vers nos arrières. J’entendais le grincement du bois dans mon corps lorsque je vis une ombre, la créature profita de ma faiblesse actuelle pour me planter son épée dans le ventre, déchirant la chaire et les boyaux. La douleur me fit hurler et la créature, attaquée par des nobles gardiens pris lâchement la fuite, me laissant agonisant sur l’herbe maintenant rouge. C’est alors que, un gardien cacha la lumière du soleil, formant une sorte d’aura béatifique autour de lui. Une lumière étrange apparu et la douleur me quitta. Puis le gardien s’en alla afin de soigner d’autres blessés. Mogrinn, le bouffon du clan s’approcha de moi, sourit à belles dents et me demanda si je voulais qu’il installe un abri afin que je puisse mieux me reposer. Mais ce qu’il n’avait pas remarqué c’est que son pied était posé sur ma main et m’empêchait de me lever, pourtant je ne sentais aucune douleur, et je savais que Mogrinn pesait son poix. Sans doute une séquelle due à ma guérison. Je le lui fis poliment remarquer avant de lui mettre mon poing encore libre dans le ventre (quels barbares ces orcs ). Il me lâcha aussitôt la main et je repartis découper un troll perverti par la puissance du mal, mais mon regard n’était plu le même.

gro-ork, la suite bis
gro-ork était assit au bar de la taverne et semblait panser une blessure au bras, en l’absence de Mogrinn, il ne savait pas à qui parler alors, il se mit à converser avec le tavernier.
Après des semaines d'économie, j'avais enfin assez d'or pour m'acheter une monture. De retour à La Source je me suis laissé guider dans les grandes écurie de la citadelle. Des hurlement et des piétinement se firent entendre et un orc armé d’une hache se précipita pour décapiter un loup blanc qui semblait devenir fou. Je saisis la main de l’orc avant de l’envoyer battre de l’aire. Le loup, qui avait brisé ses chaînes me bondi dessus et me renversa sur le dos, ces dents, aussi tranchante que l’arme d’un dieu se plantèrent dans mon bras. Atteins d’une décharge de force (merci au grand seigneur de la force), je réussis à éloigner la bête et à me relever, cette fois prêt à affronter l’animale de face. Ce dernier ayant récupéré me bondit dessus, après m’être poussé, je lui ai sauté sur le dos et l’immobilisa grâce à une clef de nuque. Je suis resté une heure sur son dos, puis, je l’ai relâché et je suis sorti de l’écurie, donné 350po au vendeur et je suis partis en direction de la taverne, sur le dos de mon loup. À la moitié du trajet, je lui ai murmuré à l’oreille: «Tu t’appelleras korgh, c’est du gnork, ça signifie "la force"».
Le tavernier semblait en avoir rien à f**tre alors l’orc lui planta son poing dans la figure, provoquant une nouvelle rixe dans la taverne des Gardiens

gro-ork, l'origine du nom
Suite aux quelques malentendus et aux quelques baffes distribuées dans la taverne des Gardiens concernant les majuscules de mon nom, j'ai décidé de vous explique pourquoi gro-ork ne prend pas de majuscule.
Comme vous le savez(si vous avez lu mon background) je suis né dans les montagnes, ma famille(dont je suis le seul survivant d’ailleurs) descend de la tribu ancestrale de gnork-lar. Cette tribu vivait dans les montages et massacrait quiconque osait s'aventurer sur son territoire, ce qui l'isola socialement des autres races donc des autres langages, pourtant un jour un humain se fis massacrer alors qu'il avait sur lui des livres. La plupart se firent brûler mais un vieux sage un peut sorcier décida de s'en inspirer et créa le gnork, écriture des anciens orcs. Malheureusement alors que le sage avait commencer à créer cet alphabet un crétin vola les ouvrages de l’humain restant, enlevant le seul exemple que le sage avait. Celui ci déjà vieux, oublia les majuscules. Lorsque mes parents m’ont appelé gro-ork ils l'ont gravé en gnork sur une pierre et me l'ont lancé dessus pour que ça se grave sur ma peau et que je m'en souvienne (ça m'as valu une bonne fracture d’ailleurs) alors lorsque je suis arrivé en Lorndor c'est par respect pour mes origines(et par peur de me prendre une pierre dans la gueule) que j'ai traduit mon nom sans majuscule.
Le prochain qui écrit mon nom avec des ou une majuscule(s) je l’aiderai à s'en souvenir en le gravant sur une pierre et en le lui lançant sur la gueule avant de l'envoyé faire un plongeon dans la fosse septique de La Source(les restes de la salle de torture de Geno et de Bhaal, accès direct par le vomitorium de la taverne(ces elfes ) sans compter la fois ou j'avais vider la réserve de bière et aussi quand Mogrinn avait la chiasse ).

L'Ordre des Gardiens Protécteur. La Fin.
Un matin d'hiver, gro-ork vu une chose étrange, la citadelle de l'Ordre des Gardiens Protecteur portait une autre bannière. Que s'était-il passé?
Il lut ses parchemins et découvrit que l'Ordre avait fusionné avec d'autres clans pour former les NEMESIS. gro-ork fut perdu, les Gardiens n'étaient plus. Mais à son premier jour en Lorndor il avait prêté allégeance à l'Ordre. C'est chez les Gardiens qu'il avait fais tout son apprentissage de guerrier. Il prit une décision importante des semaines après la fusion. Il refusait d'oublier, d'oublier si facilement les bonheurs et les peines. Il s'était investi dans ce clan comme nul part ailleurs. Il vivrait en nostalgie de son amour pour les Gardiens. Il refuserait de se lier à nouveau à un clan!

Le mariage

Malgré le printemps revenu, il faisait frai en Lorndor mais ça n'avait pas empêché les Ames tourmentées de préparer de sombre événement: "Un mariage... entre la mort et la vie, quoi de plus sacrilège?" Se demanda gro-ork... assis à une table de la taverne du royaume Orc, il ruminait encore ses pensées de ce soir ou eu lieu l'union sacrilège. Il avait décidé de châtier les responsables et était parti la veille du mariage pour le château Lucifel, seul, car il était seul depuis la fin des Gardiens. Il savait que les NEMESIS préparaient quelque chose et il les aiderait s'il en avait l'occasion.
gro-ork avait attendu la fin de la cérémonie, trop loin, trop bien protégé des dizaines de créature sacrilège s’apprêtaient à tous moments à soigner cet être noir qui se mariait en ce jour. Il avait attendu la fin car la tension était retombée une foi le mariage prononcé. Les invités étaient plus calme, le service d'ordre aussi, si seulement il pouvait tous les ocirent... Mais il avait un autre objectif en ce jour sombre. Il s'était frayé un chemin jusqu'au plus prés du marié. Puis écartant d'un coup sec les obstacles il se précipita de tout son poids, de toute sa force sur sa victime, lui planta un pieu dans le corps, criant "Je ferrais une veuve ce soir!" Puis, avant que quiconque n'aie eu le temps de réagir, il le replanta, s'acharnant sur sa victime tant qu'il lui restait des forces. Puis, dans un dernier élan de survie, il lit un parchemin de téléportation qui le mènerait en lieu sur.
Plus tard dans la soirée, poussé par une curiosité impatiente, il se rendit au Nord, vers le château NEMESIS. Poussant la porte de la taverne, il découvris qu'une tournée avait lieu... Retenant ses pulsions raciales il demanda quelle en était la cause et on lui dit que Revengefire avait achevé, à l'aide de Trollito le prince noir Thanos juste après son départ. Grognant de joie il se précipita sur la bière qui coulait déjà à flot.

Seul dans les Montagnes du Nord. Seul et affamé. Il entend un bruit. Enfin, de la chair! Enfin à manger. Il rampe sur l'épaisse couche de neige et observe. Il y a de curieuses créatures, verte et massive. Beaucoup de viande. Faim. Il s'apprète à bondir mais de droles de branche lui tombe dessus et le sert. Comment a-t-il put se faire prendre si facilement, ce n'est pas digne d'un loup solitaire, surtout d'un loup blanc. Mais il peut quand même tenter de partir, il se débat de toute ses force. Mais un coup sur la tête le fais tomber. Lentement, il s'endor...

Quand il se reveil, il est dans une cage de metal. Il frappe de sa queue, de sa geule et de ses pattes mais rien n'y fais. Il est prisonnier, il se couche sans plus bouger jusqu'a la fin du voyage.

Enfin, la troupe arrive aux porte d'une immense citadelle blanche et pur, batie sur une terre souillée de créatures immonde. On mêne sa cage dans une écurie ou une créature cornue et massive le saisi. Il se débat de toute la puissance de sa race, il réussit à planter ses crocs dans la chair de la créature. Sa viande est justeuse, coriace, savoureuse et il aime ça. Il en veut encor. Il se tourne mais trop tard, elle était trop massive, trop puissante. Il s'affale. Mais il se relève il hurle et se tourne une autre créature verte cour vers lui, il porte de ses deux main un bout de bois sur lequel est monté une chose luisante. Mais la créature se fit expédier en l'aire par une autre créature plus puissante encor. Il en profita pour bondir et mordi avant de se faire repousser par la créature qui se releva. Il chargea mais la créature lui sauta sur le dos et l'immobilisa pendant longtemps. Cette créature était puissante et digne de le monter. Il l'aiderait comme un amis fidèle, ensemble ils serraient plus puissant. A présent il avais soif. La même soif que son ami. Soif de vengeance. il se rappelait à present. Sa meute Détruite par des morts. Lui, seul survivant. Comme il avais détésté survivre. Ca avait été un affront à son honneur de loup de ne pas mourrir en compagnie de ses frères. En s'éloignant de l'écurie la créature verte se pencha vers sont oreille et lui murmura à l’oreille: «Tu t’appelleras korgh, c’est du gnork, ça signifie "la force"».

pas mal.

Vivement la suite si il y'en a une

Merci, il y aura une suite tant que je jouerai.
Et je n’ai pas l'intention d'arrêter

Chemin dangereux

La chaleur terrassait même les plus fort des guerriers, mais gro-ork marchait d’un pas décidé. Il avançait vers le sud. Il en avait marre de vivre reclus, il allait vers la mort, mais pas celle purificatrice, celle de la non-vie. Il arriva enfin à son but. Faisant voler sa hache, il offrit une seconde mort au morts-debouts qui se trouvèrent sur son passage. Il combattait tel le barbare en manque de carnage, car, c’est ce qu’il voulait. Il s’était éloigné trop longtemps de sa quête. Il se tailladait un chemin à travers les corps putrides Il reçut un coup, une épée lui trancha la main, une lance lui transperça les boyaux. Il s’affala. Seul, il était seul. Quelle folie l’avait mené là? Il aurait eu plus de chance faire un véritable massacre s’il se trouvait encore parmi les siens, parmi ses frères et sœur d’armes. Il déchira en hâte son sac et en sorti un parchemin chiffonné. Il le lut et disparus.



Ses frères de sang le soignèrent avec soin, si bien qu’au matin, ses blessures avaient cicatrisé.

En emportant justes ses affaires de guerre, gro-ork quitta le château Orc sur son fier Loup blanc qui courait à vive allure en présage des massacres à venir. Il était comme son maître, avide de détruire ce qui est putride, ce qui est profané, ce qui ne devraient pas exister!

Le retour

Enfin il arriva vers une belle citadelle. On lui ouvrit les portes. Ça faisait longtemps qu’il n’était plus venu ici… Il sauta à terre et défonça une porte.

Tavernier! Une tournée! Et plus vite que ça, ce n’est pas tous les jours que je suis de retour!



La taverne était silencieuse. Quelques combattants buvaient avec plaisir non dissimulé…

Soudain, tout le monde se redressa, un coup puissant avait fait trembler le sol… La porte s’ouvrit si fort que si quelqu’un s’était trouvé derrière, le menu aurait été de la bouille…

Un Orc entra en criant si fort que tout le monde fus pris d’un bourdonnement d’oreille…

L’Orc dut s’y reprendre à deux fois avant de faire enfin comprendre qu’il désirait une tournée dans les plus brefs délais… Certains ne comprirent pas le but de cette tournée… se contentant de bondirent joyeusement sur le précieux liquide qui coulait déjà à flot. D’autres remarquèrent enfin que l’Orc portait sur son torse le blason NEMESIS…

Le calme avant la tempête.

gro-ork était assis, il aiguisait tranquillement ses armes et pansait ses vielles blessures.
Quelques Orcs se reposaient au même endroit, au pied d’un téléporteur… L’un d’eux croisa le regard de l’Orc. Il fut si effrayé qu’il partit. Il avait vu la folie dans les yeux de l’Orc, une folie meurtrière, dangereuse. Une haine barbare animait les yeux de l’Orc et bientôt, elle animerait aussi ses armes.
Il avait enfin reçu une missive qui lui ordonnait de se préparer… La guerre, il ignorait tout de la bataille à venir mais il sentait qu’il y serrait épanouit. Car il aimait les combats, le sang, la souffrance, les mort par centaine, il aimait ça. Il aurait bientôt le plaisir de contempler le vitreux d’un regard mort.
Ce serrait son premier combat sous le blason NEMESIS… Un honneur de combattre à nouveau au nom de la vie, et de ne pas le faire seul. korgh aussi était nerveux il mordait nerveusement une jambe que lui avais donné gro-ork, du Troll, il aimait bien, ça au moins, ce n’était pas trop pourrit L’heure approchait. Ils leur restaient assez de temps pour se reposer, mais après, après il faudrait qu’ils détruisent.

Enfin, enfin il avait reçu ses ordres, plus que quelques heures d’attente et il se ruerait joyeusement face à cette coalition traîtresse. L’Empire… Certes, ils avaient que peut de mort à purifier, faute mémorable de la part de ses chefs… Mais sa joie barbare effaça fort vite cette faute… Il voyait s’activer d’autres Orcs à proximité… Des STOMY, même le vénérable konic était présent. On lui avait dis qu’il se battrait en leurs en leur compagnie. gro-ork salua respectueusement les fiers représentants de sa race présents, se préparant eux aussi à se téléporter vers l’objectif. Il monta sur son loup, se préparant à partir.

Une nouvelle conscience.

Ils s’étaient fais vaincre. L’Empire, ne sachant que faire contre un ennemi qu’il n’avait pas eu le courage d’affronter avait appelé la Ligue d’Argent pour l’aider.
Face au nombre NEMESIS, Ewig et STOMY avaient baissé la tête et étaient parti. Un combat trop inégal pour une invasion…
Mais la vengeance avait fais bouillir les chefs. Ils avaient promis de revenir et c’était ce qui se passait.
Une partie de la CHC attaquait la ligue d’Argent pendant que la Fraternité du Phœnix et une partie de l’alliance faisaient mordre la poussière à un Empire déchu. gro-ork était de ceux là. Il réprouvait pourtant que la mort les aide en retenant la Ligue d’Argent… Il tentait de noyer cette honte et sa haine dans le carnage des combats et dans la bière des tavernes. Il était bien loin le temps où tout lien d’alliance même indirect avec la mort était proscrit. Mais avait-il seulement existé? gro-ork l’ignorait, les charniers et les massacres avaient usé ses sens et son esprit. Tant de fois son honneur avait été entaché par des actions de ce genre. Il n’avait pas la force de lever un combat interne, ni même l’envie d’ailleurs. Alors, il combattait, c’était tout ce qu’il lui restait d’antan, avec la bière, c’était devenu son seul plaisir. Bien sur, il aimait aussi rigoler avec ses frères d’armes à la taverne… Mais il semblait que le cœur n’y était plus pour beaucoup… Il était de ceux là, il sentait la nostalgie le reprendre, les souvenirs submergeaient à nouveaux son existence.
Que lui arrivait-il? Il connaissait ce sentiment, il l’avait déjà ressenti. Certes, il avait fini par l’oublier mais il revenait. A voir, il n’était pas le seul. Nombreux anciens s’en étaient allés, ou on les avait chassés, certain avaient aussi goûté à la folie d’autre était las. Malgré tout, il était encore un Gardien, un ancien. Les nouvelles générations de combattant ne pouvaient comprendre car ils n’avaient pas vécu la gloire, la honte, la victoire et la défaite. Ils s’étaient toujours relevés poussé par une motivation sans limite, poussé par la haine mais aussi par l’amitié. L’amitié s’en était allée avec les départs des anciens, les anciens avaient emporté avec eu la Source. Il fut un temps ou la Source les unissait tous. Mais elle avait été détruite sous sa forme physique. Elle avait fusionné avec chaque ancien. Chaque ancien qui partait, c’était la Source qui se divisait. Mais la Source était une entité Gardienne, pas NEMESIS. Et gro-ork était un Gardien.