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Nom: Alienure
Race: elfe (Calaquendi: elfe de lumière)
Classe: Mage
Pour ce qui est de mon histoire avant Lorndor:
* Né en Valinor entre les 2 arbres sacrés, Telperion appelé aussi Silpion ou Ninquelote, l'arbre aux feuilles vertes argentées et Laurelin appelé également Malinalda ou Culurien, l'arbre aux feuilles vertes dorées qui allaient perrir ce soir là,
* Né lors de la fête de la récolte,
* Né lors de la réconciliation de mon père et de mon oncle,
* Né lors de la dernière fois que les 2 arbres brillaient et ils n'avaient jamais brillé autant. J'en sais quelquechose car j'étais au première loge avec ma mère, (pour l'anecdote: je me précipitai sur mes 4 pattes et mangeai 3 feuilles de Telperion, ce qui me vaut ce teint pâle exceptionnel)
* Né lors de la dernière traitrise de Melkior, qui allié à Ungolliant les a réduit à néant, a tué mon grand-père Finwë, volé les 3 Silmarils (joyaux forgés par mon père et derniers vestiges de la lumière des 2 arbres sacrés) et a poussé mon père à sa perte,
* Moi Alienure né Alienor fils de Fëanor et Nerdanel, cadet de 7 frères (Maglor, Maedhros, Curufin, Celegorm, Caranthir, Amrod et Amras) qui ignorent tout de mon existence,
* Moi Alienure, Calaquendi de naissance (elfe de lumière),
* Oui moi Alienure, petit fils de Mahtan, de Finwë et Miriel Serindë,
* Moi Alienure, Noldor (clan elfique) honteux qui a renié jusqu'à son propre père (qui n'a jamais pris conscience de mon existence trop occupé à se venger, trop occupé à renier nos propres Valars!!), changeant également de nom pour Alienure afin de ne pas être reconnu par celui-ci ainsi que mes frères l'ayant suivi.
* Moi qui ait dû grandir en une nuit afin de survivre, ma mère se suicidant et mon père ne se souciant que de sa vengeance,
* J'appris les secrets de la forge et de la magie du feu avec Mahtan, mon grand père qui était également l'instructeur de mon père en la matière,
* J'appris l'art des écritures, des langages, de la broderie, du dessin et de la sculpture (également celle des pierres précieuses) avec Aulë le Valar (l'équivalent d'un Dieu en Lorndor),
* J'appris également avec Manwë le roi des Valars l'art de la musique et de la poésie ce qui me marqua profondément (également la magie de l'air)...je chantais avec lui des complaintes aux Noldors maudits, car il regrettait autant que moi ce qui s'etait passé, je m'intégrais également aux Vanyars (clan elfique) à cette époque.
* J'appris très vite étant animé soi-disant du même feu que mon père combiné à la patience de ma mère..et c'est ainsi que très peu de temps après, je partais rejoindre les Teleris (clan elfique) afin de réparrer l'outrage que mon père avait engendré en les pillant pour récupérer leurs navires, je les aidais donc à la reconstruction de leur port et à la fabrication de nouvelles embarcations, j'appris ainsi et ceci à l'aide d'Ulmo (un Valar) les arts maritimes ainsi que la magie de l'eau.
* Suite à cela je rejoignis les Terres du milieu afin de réparrer les autres erreurs de mon clan (Noldor de naissance..je suis et je reste tout de même).
* J'abandonnais vite: les guerres n'étant pas faites pour moi mais je me retrouvais coincé en Terre du Milieu.
J'errais sans me soucier..jouant déjà de la flûte..
* J'entendais déjà parler de Eöl et du Galvorn:métal issu d'un météorite quasiment incassable, comparable au mithril des nains mais d'une couleur étrangement sombre...très interessé je partis le rejoindre et nous apprimes respectivement l'un de l'autre les techniques de taille de ce métal: lui créant des armes et moi, fervant pacifiste, me forgeant ma flûte traversiere dont je joue encore actuellement lorsque je ne joue pas de ma flûte taillée dans le bois Onodrimique (ou Entique), car en effet je rencontrais ensuite Silvebarbe l'Ent...
* ...qui touchait par ma musique, mon histoire, ma peine..m'offrit une de ses branches pour me la constituer(son bois étant magique). J'appris tout sur l'histoire du monde..mais pas sur le Lorndor. Je restais donc très longtemps avec lui, tellement il y en avait à apprendre mais aussi à cause de la lenteur naturel (il faut l'avouer) de ce vieil Ent. Entre temps, Melkior eut le temps de se faire vaincre (et Eöl de mourrir sans laisser de trace du Galvorn).J'appris la magie de la terre avec le vieil Onodrim, faisant pousser des arbres plus vite que jamais.
* Puis je rencontrais ensuite 3 des 5; ceux qu'on nomme Istaris (grands mages): d'abord Mithrandir aussi appelé Gandalf le Gris passant par là, je le suivis longtemps dans ses trajets, et appris beaucoup mais surtout je passais beaucoup de bons moments..
Je le quittais ensuite lorsque nous rencontrâmes Radagast le marron qui m'apprit à soigner les bêtes blessés et ainsi la magie de soin, nous nous inclinâmes ensuite devant le maitre des Istaris nommé Curùnir ou encore Saroumane le blanc, avec qui le courant ne passa pas vraiment mais ma soif de connaissances me poussait à l'hypocrisie et j'appris..j'appris l'enchantement notamment mais nous nous séparâmes tout de même vite car je ne supportais plus de mentir.
* Je partis ensuite à la recherche d'Alatar le guerrier et de Pallandos le Pur nommés également les mages bleus, pour cela j'enchantais un dragon, afin de me déplacer rapidement et pour avoir quelques ressources pécunieres dirons-nous (les dragons étant possesseurs de nombreux trésors).
Ma quête fut un échec, personne ne les revit jamais d'ailleurs, pas même Thorondor le roi des aigles que je suis allais interroger sur sa montagne.
Entre temps, Sauron fut vaincu une première fois mais son anneau maléfique se promenait..attendant le retour du maitre loup-garou.
* Par la suite je retournais voir Sylvebarbe, sa compagnie m'étant très agréable et ses histoires toujours aussi interessantes. Je me repposais..ce fut appaisant.
* La compagnie des elfes me manquant je me rendait ensuite en Lorien puis à Fondcombe, me faisant toujours appelé Alienure et me présentant comme un elfe errant des terres du milieu, comme un Avari (elfe de l'ombre: ceux qui n'ont jamais vu la lumière des 2 arbres et ne la verront jamais) mais ma stature et mon habileté commençait à déclencher des rumeurs..je préférais donc encore m'éxiler, il était hors de question qu'on se rende compte de ma vrai nature! Surtout qu'en ce temps et cela depuis la chute de Gil-Galad contre Sauron, j'étais le seul Noldor encore vivant sur cette terre.
* J'errais..tantôt rencontrant des nains me méprisant (à vrai dire la plupart),
tantôt rencontrant des nains avec qui je me liais d'amitié, et avec qui j'appris encore sur la sculpture, ce que je croyais impossible, pensant tout savoir..comme quoi!mais j'appris également à creuser des galeries et l'art du peuple de "sous la terre" mais je dû tout de même vite m'arréter puisque ma grande taille ne m'aidait vraiment pas!),
tantôt essayant de dissuader les hommes de détruire les forêts, très peu ne me méprisait pas également,
tantôt rejoignant Gandalf avec qui j'appris les plaisirs du tabac,
tantôt aidant Radagast jusqu'au bouleversement du retour de Sauron..ou du moins de sa rumeur..
* A ce moment je partis défendre la forêt de Fangorn comme je le pouvais mais ne sachant me battre il était très difficile de combattre les orcs surpuissants de Saroumane qui comme tout le monde (par chez nous) le sait nous a tous trahi et à rejoins le côté "obscur" de Sauron. Je replantais, replantais et replantais encore des arbres afin qu'il reste des arbres après cette guerre, j'enchantais certains Huorns (Ents sauvages) afin d'en faire de sages Ents pour ne pas voir leur extermination.
* Les Ents entrèrent en guerre et je fuyais donc une fois de plus..(remarquez tout de même ma lacheté..mais ayant l'immortalité pour moi, je tiens à la garder).
* La guerre finie, je passais voir Nimloth, l'arbre blanc qui avait refleuri, celui-ci étant issu de Galathilian, lui même issu du Telperion, arbre disparu et tant regrétté.
* Je rencontrais alors une personne qui fit battre mon coeur comme jamais, nous allions rejoindre Valinor ensemble car le temps des elfes prenait fin, et le regne des hommes commençait...je partais une derniere fois, faire le tour de ses terres que j'avais tant parcouru ces derniers siecles, comme pour leur dire Adieu, pour leur faire savoir que j'avais trouvé le bonheur lorsque...
...lorsqu'une sculpture étrange attira ma curiosité: un cercle vide horizontal; rapidement je m'approchai et là...
...je me fis absorbé et me retrouvai dans un étrange monde!
On me dit qu'il s'appelait Lorndor.
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