Je préviens, le site "Pour une terre sociale, responsable et durable" semble écolo donc évidemment sujet à caution et à moquerie
Pour contrer une catastrophe imminente, des équipes de scientifiques renommés, appuyés par des politiciens, ont conçu des projets de refroidissement artificiel de la Terre dignes de la science-fiction.
Toutes les études publiées récemment prévoient que le changement climatique - annoncé voici plus de trente ans par plusieurs rapports officiels – est inéluctable et qu’il sera beaucoup plus rapide que prévu précédemment. Pour contrer une catastrophe imminente, des équipes de scientifiques renommés, appuyés par des politiciens, ont conçu des projets de refroidissement artificiel de la Terre dignes de la science-fiction, qui inquiètent de nombreux climatologues. L’expérimentation de certaines de ces nouvelles technologies pourrait avoir déjà commencé.
(...)
La géoingénierie globale ou la manipulation climatique à l’échelle planétaire
Mais ces manipulations climatiques locales semblent très anodines comparées à celles qui sont à l’étude à l’échelle planétaire, notamment aux Etats-Unis. Depuis plusieurs années, les appels de scientifiques au recours aux technologies de modifications artificielles du climat se multiplient :
La politique actuelle sur le climat semble ne pas fonctionner. Nous ne disons pas que nous avons la baguette magique, mais c’est une situation désespérée et les gens devraient commencer à penser à des moyens non conventionnels. Des projets préventifs à grande échelle sont nécessaires (PR Schellhuber, The Guardian, 11 janvier 2004)
Dès 1997, Edward Teller (le père de la bombe H et l’un des plus ardents partisans de La guerre des étoiles) préconisait de créer autour de la terre un énorme bouclier chargé de détourner les rayons du soleil pour stabiliser le climat. Ce projet est né de l’observation des éruptions volcaniques, qui rejettent dans l’atmosphère des particules qui font chuter significativement la température terrestre pendant quelques semaines, voire plusieurs années.
Colin Powell a révélé en 2002 que les Etats-Unis étaient engagés dans des actions pour satisfaire les défis environnementaux, y compris le changement climatique global, précisant qu’ils avaient déjà investi des milliards de dollars dans des technologies de pointe beaucoup plus efficaces que les mesures préconisées par le protocole de Kyoto.
Selon le Centre national américain des recherches atmosphériques, le moyen le plus efficace de réduction du réchauffement global réside dans l’épandage par des avions de composés d’aérosols réfléchissant une partie des rayons solaires dans l’atmosphère.
Le marché de la géoingénierie est très prometteur, d’autant qu’un rapport officiel britannique a annoncé une récession économique ”d’une ampleur catastrophique" si rien n’était rapidement engagé à l’échelle planétaire contre l’effet de serre.
Les dangers de l’application de ces projets sur le système climatique, l’environnement et la santé des êtres vivants
Hervé le Treut (CNRS) craint que les aérosols modifient notre le monde, et rappelle qu’ils génèrent des pluies acides. Le système climatique est très complexe et très fragile ; il fait intervenir notamment l’atmosphère, les océans, les continents et la biosphère. Le recours à l’injection d’aérosols provoquerait des réchauffements locaux en hiver dans certaines régions, le refroidissement se concentrant sur d’autres.
Le PR Edouard Bard met en garde contre les effets collatéraux à l’échelle mondiale de ces techniques, qui ne sont soumises à aucune législation : avec de tels dispositifs de géoingénierie globaux, ce n’est pas seulement l’atmosphère qui est en jeu, mais le système climatique dans son ensemble, c’est-à-dire un gigantesque jeu de dominos d’une grande complexité.
Selon la NASA, l’aluminium et le baryum, deux produits très toxiques, seraient parmi les produits chimiques les plus utilisés lors des épandages. Or, l’aluminium est aujourd’hui reconnu comme facteur favorisant la maladie d’Alzheimer. Inhalés ou ingérés, les sels de baryum peuvent entraîner arythmies, troubles digestifs, asthénie et hypertension artérielle. Les tests effectués au Canada auraient révélé la présence de ce métal à des taux anormalement élevés dans l’eau de pluie.
(...)
Des expérimentations pourraient être déjà en cours
Une polémique sévit actuellement sur Internet au sujet d’expérimentations climatiques secrètes qui seraient déjà menées depuis plus d’une décennie. Les tenants de la théorie des manipulations climatiques justifient leur point de vue par les observations de plus en plus fréquentes, dans le monde entier, de longues traces blanches persistantes laissées par des avions quadrillant le ciel. Les autorités interrogées répondent que ces tracés ne sont que des contrails (tracés de condensation) correspondant à la vapeur d’eau émise par les avions volant à très haute altitude et que l’augmentation de leur fréquence est due à l’intensification du trafic aérien.
Les tenants de la théorie des chemtrails (tracés chimiques) leur rétorquent que les contrails disparaissent au bout de quelques minutes, alors que les chemtrails peuvent persister pendant des heures ; ils s’élargissent pour former un voile laiteux, avant de se superposer et se métamorphoser en nuages de plus en plus épais et foncés, qui finissent par former une chape de plomb au-dessus de nos têtes. Ils affirment que les avions laissant ces traces persistantes sont à des altitudes trop basses pour laisser des contrails, qu’ils volent souvent en dehors des couloirs aériens et ont parfois des trajectoires anormales. En Amérique du Nord, des associations se sont créées pour lutter contre les épandages.
Le grand battage médiatique sur le réchauffement climatique, qui s’intensifie curieusement depuis plusieurs années au niveau mondial, pourrait notamment préparer l’opinion publique à l’inéluctabilité du recours à la géoingénierie. En mars 2005, le Sénat américain a voté une loi officialisant les manipulations climatiques.
(...)
S’il est difficile de prouver que ces technologies sont déjà utilisées, que ce soit à des fins pacifiques ou militaires, le sujet fait l’objet de nombreux articles depuis les années quatre-vingt-dix dans la presse étrangère. Pour Business Week, « une technologie capable de contrôler les conditions atmosphériques serait une puissante arme militaire et politique.
Joëlle Pénochet
Copyright 2007 - Reproduction intégrale encouragée, à condition de mentionner l’auteure et l’url de cet article par un hyperlien.
Cet article est un résumé de l’article publié sous le titre "Notre planète Terre bientôt climatisée ?", suivi d’une bibliographie très détaillée sur le site de Planète non violence.
http://www.infosdelaplanete.org/237...
De : Joëlle PENOCHET
Un autre site, où il est expliqué les raisons du délire collectif, et où l'on parle des utilités supposées du Baryum :
De guerre lasse, les autorités ont stoppé toute discussion et les chemtrails ne constituent ni un sujet d'étude scientifique, ni un thème de débat. Et les évènements du 11 septembre n'ont rien fait pour arrondir les angles, alors que bizarrement, les avions civils étant cloués au sol pendant plus de quinze jours, des chemtrails étaient toujours observés.
La notion de sécurité prime sur toute considération, et les citoyens trop curieux sont considérés comme de mauvais citoyens ... Devant une telle attitude, il est normal que les pires craintes se transforment en quasi délires : on trouve sur le web , des chercheurs qui défendent des théories effrayantes, qui vont globalement dans trois directions : (note de Nenki: dans mon livre "CHEMTRAILS: les tracés de la mort" je démontre les 8 agendas qui se cachent derrière les chemtrails).
(...)
C'est que pour un système multimédia qui gère autant d'informations " lourdes " simultanées, il faut une capacité de communication très importante, à la fois en volume de flux et en vitesse de conduction. Sur le champ de bataille, il n'y a pas de fibres optiques ... on ne peut compter que sur l'air ambiant comme support des ondes électromagnétiques.
Et c'est là que la pulvérisation de sels de baryum s'avère très efficace , ils permettent de garder en altitude de l'air à la fois humide et ionisé, un merveilleux support et une véritable autoroute pour transporter des données digitalisées.
Si de telles quantités de baryum sont envoyés dans l'atmosphère, il faudra bien trouver des explications lorsque leur présence sera authentifiée et reconnue. Selon les organisations écologistes, la réponse est déjà toute prête : ce sont les centrales thermiques à charbon qui crachent ce baryum, élément contenu par traces dans les végétaux du carbonifère, et on en avait jusqu'ici tout simplement oublié de le mesurer...
Le pire c'est que la pillule risque de passer, comme était passée la fable du " fluor qui est bon pour les dents " dans les années 50, lorsque l'industrie américaine contaminait des régions entières pour l'extraction de l'uranium et du plutonium.
Article de Robert Velay pour EFFERVESCIENCES n° 22
Éditions MII)INNOVA -
51 route d'Espagne,
31100 Toulouse,
France
L'article ci-haut parut dans la revue "UNDERCOVER",
une publication de Joël Labruyère.
Abonnements: 40 rue du Paradis,
76530 Grand-Couronne,
France