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 Sujet du message: le voyage de Lear
MessagePublié: Mar 14 Juin, 2005 13:22 
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Lear avait pris peur. Il s'était réfugié sur la plus haute poutre de l'auberge. Il ne comprenait pas d'où venait cette haine subite qui avait parcouru l'auberge. C'était comme si le monde extérieur avait soudain fait irruption dans ce havre de paix. Pour Lear la peur, que cette haine lui inspirait, était tel qu'il préféra ne pas redescendre pour ne plus avoir a l'affronter. Là, En haut de sa poutre, dans la chaleur du feu qui l'environnait il se sentait en sécurité, comme dans les bras d'une mère.

Sa mère il ne se souvenait pas de l'avoir connu. Pour lui aussi loin que remontait sa mémoire il était tel qu'il est aujourd'hui. Il se souvient très bien par contre de toutes les personnes qui l'avaient rejetés. Cela sous prétexte qu'il n'avait pas la même manière de percevoir le monde qu'eux.

Pour lui le monde n'est qu'un immense terrain de jeu où se superpose le réel et sa propre perception des réalités. Car pour Lear il existe plusieurs degrés de réalités. Il n'est pas nécessaire qu'il le sache pour pouvoir les appréhender. Il lui faut juste se laisser appréhender par ces réalités pour pouvoir exister.

Alors Lear la sent. Cette présence qu'il sait proche mais qui toujours fuis son regard. Il la attendu il ne sais plus combien de fois. Elle est toujours là à la limite de ses perceptions. Lear sens qu'il ne doit pas se laisser approcher par elle mais en même temps son aura est telle qu'il ne peut résister à l'envie de la laisser approcher. Lorsqu'ils se rencontrent c'est toujours un combat incessant entre raison et envie pour Lear. Mais aujourd'hui, aujourd'hui, La haine qui à rempli l'auberge a submergée la raison de Lear. Elle la emportée loin. Lear n'a plus le courage de se battre contre lui même alors il accepte sa venue. Aujourd'hui il ne fuira pas comme d'habitude. Il n'en a plus la force. Elle est là devant lui. Lear ferme les yeux non pas de peur mais d'acceptation. Il sait que la seule manière qu'il ait de la connaître est de l'accepter en lui alors il s'ouvre et la présence rentre en lui. Pour lui commence une introspection intime de son moi intérieur.

Tout commence par une chute. Une longue chute dans un puit noir et sans fond. Lear sent qu'il ne doit pas avoir peur. Que c'est sa peur qui détermine sa perception de cet environnement. Alors il accepte la chute. Il l'accepte car il sait qu'au bout rien ne l'attend. Que si il éprouve la peur de chuter alors il continueras de chuter. Lear se laisse planer. Il ressent alors toutes le joies et les peines qu'il a vécues en ce monde.

"Comme elle ressemble au joie et au peine de ce monde."

Pour Lear la sensibilité à ce qui l'entoure est telle que ses sentiment découle directement des sentiment exacerbés par son environnement direct. Il sent, il sait. Il ne doit plus avoir peur. Alors il se pose. Où il ne sait pas mais il a l'intime conviction qu'en ce lieu rien ne peux l'atteindre. Enfin rien d'extérieur. Alors Lear est bien. Il s'endort.

La voie du guide résonne dans les hauts parleurs.

" Approchez mes demoiselle, mes dames, mes sieur, Venez découvrir les merveilles de l'esprit. Un esprit tordu comme on en fait plus. Approchez, approchez."

Lear s'approche. Après tout pourquoi ne pas profiter de cette visite surtout que le guide n'a pas dit que la visite était payante alors Lear décide que la visite sera gratuite est comme il est dans son esprit la visite est effectivement gratuite.

Lear n'est pas satisfait de la visite. Il a eut beau la faire trois fois il la trouve trop conventionnelle. Mais à chaque fois qu'il a voulu s'éloigner pour pouvoir visiter a son grés le guide la ramené sur le chemin de la visite. Cette fois Lear ne se laissera pas avoir. Il court. Il sait qu'il court plus vite que le guide. Mais comme le guide connaît mieux les méandre de l'esprit de Lear que lui même, Lear est obligé de se perdre dans son esprit pour pouvoir perdre le guide de son esprit. Et Lear passe devant de nombreuse porte close. Des lumière s'échappe de sous les portes. Lear s'approche de l'une d'elle et regarde ce qui est marqué dessus.

Souvenirs oubliés 2000 à 2500

Lear n'ose pas ouvrir la porte. Alors il continu son chemin se disant qu'il y aura bien une porte qui sera resté ouverte. Dans celle là il entrera. Mais si son esprit ferme les autres alors ce n'est pas à lui de les ouvrir.

Enfin Lear arrive à une porte ouverte. Comme de normal c'est la dernière. Lear se rend compte qu'il est revenu à son point de départ.

" ça m'apprendra. La prochaine fois je commencerai par la dernière."

Lear rentre par la porte ouverte. Et c'est de nouveau la chute. Mais Lear sait qu'il ne craint rien. Après tout il est le gardien de sa propre prison donc ce qui lui arrive actuellement n'est que le fait de son esprit. Et son esprit ne peut pas le tuer se serait du suicide. Enfin Lear espère que les choses se passerons comme ça.

Lorsque Lear se réveille (La chute était tellement longue que plutôt qu'attendre la fin Lear a décidé de faire un somme) il se trouve sur une place. Il est entouré de dieu ([hrp: Mode petit délire ON]c'est pas moi qui le dit mais selon certain, heureux les simple d'esprit car le royaume des cieux leur est ouvert, là ça m'arrange alors je l'utilise mais je ne ferai pas de débat théologique la dessus. C'est à prendre y a pas le choix et puis de toute façon comme c'est moi le narrateur je peux bien faire apparaître Lear au milieu des Dieu non mais[/hrp : Mode petit délire OFF])

Lear en connaît certain. Il a vue des personnes les prier. Pour les autres il ne les reconnaît pas. Ah si là-bas Jah le dieu des Gnomes. Lear se demande encore comment des gnomes on pus se laisser guider par un tel dieu, qui ne pense qu'a la domination. Il en a entendu parler plus d'une fois sans jamais vraiment réussir à cerner le personnage. Mais là il est devant lui et Lear comprend. Ce dieu ne veut pas la domination il veut la reconnaissance de sa race par les autres races. Il veut que les gnomes soient reconnus et adulés à travers le monde. Finalement sous cet esprit tourmenté se cache un être empreint d'une grande bonté. Même si Lear n'apprécie pas forcément se qu'il a entendu sur Jah. Il apprécie le personnage. Alors Oui il apprécie ce dieu

Ensuite il y a Jalmur, Dieu des pâquerettes. Ce dernier est là assis béatement au milieu d'un champ de pâquerette. Lear ne comprend pas qu'on puisse adorer les pâquerettes autrement qu'en liqueur. Mais bon si ce dieu existe c'est donc que des personnes vouent un culte au pâquerette. Et après ça c'est lui qui est fou. De qui se moque t'on finalement.

Alors Lear l'aperçoit. Elle est là assise à un table elle l'attend. Lear s'approche, ils se reconnaissent et se perdent dans la contemplation de l'autre qui n'est finalement que la contemplation de eux même car si l'un est autre c'est parce que l'autre est un.

Combien de temps dura ce moment de grâce Lear ne pus le dire mais il en ressorti remplis d'une profonde sérénité qu’il n’avait encore jamais connue.


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MessagePublié: Ven 17 Juin, 2005 14:15 
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Lear sorti de l’auberge. L’atmosphère de cette dernière l’oppressait. Il avait besoin de changer d’air. Il se mis a marcher sans direction aucune juste pour le plaisir de marcher de même il regardait pour le seul plaisir de se rappeler qu’il avait des yeux. Il voyait les oiseau voler les mouche bourdonner, les serpents ramper. Puis Lear vis une énorme fourmilière. Il s’en approcha. Pour les fourmis il n’était qu’un gros nuage de plus dans le ciel. Vu que d’un coup il faisait sombre il allait peut-être falloir rentrer en catastrophe car c’est jamais drôle d’être sous la pluie. C’est comme si des énormes rochers plein d’eau vous tombait sur la tête sauf que quand on se prend un caillou sur la tête on est écrasé, ça va vite mais la avec la pluie y a une chance sur deux de se retrouver noyer, et ça c’est beaucoup moins drôle.

Lear regardait les fourmis. Elles travaillé avec un tel ordre. On aurait dis une armée occupé à je ne sais quoi. Elle se suivait sans jamais se doubler. Une file dans un sens une file dans l’autre. L’ordre régnait dans ce monde. Il semblait que jamais une fourmi aurait pris le chemin à l’envers. Jamais une fourmi ne se serait écartée du chemin.

Lear suivi la file de fourmis vers l’amont (techniquement il suivi la file vers le sens opposé à la fourmilière parce qu’il était déjà au dessus de la fourmilière que nous définirons ici comme la direction aval mais nous aurons peut-être le temps de revenir la dessus). Là il découvris que les fourmis travaillé sur le dépeçage d’une énorme chenille. Lear vis le maître d’œuvre croonder (oui je sais elle est facile celle là) ses ordres. Ces derniers étaient scrupuleusement respectés. Il ne serait jamais venu à l’idée d’une fourmi de ne pas respecter ces ordres. Et puis pourquoi faire. Après tout nos parents obéissaient bien aux mêmes ordres. Et on est arrivées jusqu’ici c’est donc que c’est ordre sont bon pour nous. Même si un petit jour de congé par-ci par-là ce serait pas de refus ma bonne dame. Vous comprenait on s’éreinte à la tâche, on travail sans prendre notre temps. Et puis après on s’étonne de vivre pas vieux. Mais bon c’est la vie. Bon sur ceux je vous laisse parce que là y a le chef qui crise et si je me remet pas vite fait au travail il va encore me tomber dessus et qui c’est qui fera des heures sup hein je vous le demande hein.

Lear enviait les fourmis tous semblait si simple pour elle. Pas de question à se poser, pas besoin de réfléchir. Alors sur cette réflexion Lear quitta la fourmilière. Alors Lear trouva un tremble et monta dedans pour dormir.

Lear était une fourmi. Il avancé. Une fourmi devant, une fourmi derrière. Les fourmis se suivaient toutes. Elle rentrait vers la fourmilière (que nous avons tout à l’heure définis comme étant l’aval. Elles ne faisaient pas un bruit. Résignées par des générations de servitudes. Seul la reine avait le droit à la parole. Les fourmis elles n’avaient que le droit d’obéir et encore quand on leurs en donnait le droit. Elle ne se formalisait pas pour cela. C’était tellement plus rassurant de ne pas avoir à réfléchir au pourquoi du comment. Oh bien sur on avait entendu parler de fourmis qui s’étaient demandé si c’était la seule solution de toujours obéir. Il y avait même une vieille légende qui parlait d’une fourmilière où la reine avait été reléguée à son seul rôle. Celui de pondre. Les fourmis elles y vivaient en liberté. Ne travaillant que quand cela leurs semblait nécessaire. Et l’hiver elles dansaient.

Lear se réveilla. Il descendit de son arbre bien décidé d’apporter un vent de liberté dans cette fourmilière. Il s’approcha de la file ininterrompue de fourmis et posa une branche en travers. Les fourmis étaient perdues. Elles avaient perdues tout repère. La peur de l’inconnu qui les faisait marcher en file les stoppait net sur place. Aucune fourmi n’aurait osée franchir cette branche. Elles préféraient attendre. Ne pas réfléchir, juste obéir. Il y a des personnes au dessus de nous qui réfléchissent très bien pour nous. Elles seront prendre la bonne décision.
Alors une fourmi garde s’approcha. Elle demanda ce qui se passait. Comme elle avait demandé on lui répondit. Par contre aucune fourmis n’aurait pris l’initiative de s’exprimé elle-même pour aller chercher un garde. Lorsque le garde appris ce qui s’était passé elle leurs dis de contourner la branche. Ce qui prenait excessivement de temps. Mais comme une autorité supérieure s’était exprimée aucune fourmi ne trouva à redire. Et les fourmis reprirent leur marche incessante.

Lear compris qu’il n’avait pas réussi. Alors il rentra à l’auberge.


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MessagePublié: Dim 26 Juin, 2005 21:39 
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Inscrit le: Mar 24 Mai, 2005 16:04
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Cela faisait maintenant plusieurs jour que Lear ne faisait rien. Il ne pensait même pas. Une statue aurait eut plus de réaction encéphalographique que lui. En faite, et ceux contraire ment à ce que l’on croit une statue à beaucoup de pensée. Elle maudit c’est foutu pigeon et penche son ombre protectrice vers ces jeunes amoureux qui viennent, à l’abris de cette dernière, échanger les première preuves de leurs amours, tranquillement installés sur l’un de ces bancs verts.

Lear se sortait doucement de sa torpeur. D’abord le cerveau. Il fallait refaire toute les connections. Vous n’imaginez pas le nombre de fil qu’il peut y avoir dans un cerveau. Et puis faut pas se tromper parce que sinon y a des problème et rien ne marche et y faut tout recommencer depuis le début. Aussi il est recommandé de bien prendre son temps lorsqu’on reconnecte un cerveau. De plus il existe des cas, très rare je vous l’admets mais bon il faut savoir que cela existe, où la multiplication de mauvaise connections peut créer un court circuit. Dans ce cas il n’y a aucune chance car le cerveau prend feu. Remarqué cela peut être pratique en hiver par très grand froid car un cerveau brûle lentement en dégageant beaucoup de chaleur mais je doute que le propriétaire du cerveau soit d’accord. En faite c’est à voir avec ce dernier.

Une fois le cerveau en marche il faut prendre le temps de vérifier que tout fonctionne comme il faut. Quand cela est fait on peut alors relancer tout le corps. Tout d’abord il faut vérifier que l’on est bien capable de sentir les choses. On commence par cela car c’est ce qui prend le plus de temps. En effet il n’y a pas que l’odeur mais aussi la douce caresse du vent sur la peau, la chaleur du soleil, la présence de ce qui nous entoure sont autant de chose qu’il nous faut savoir sentir car sinon on est comme un aveugle à qui on a retiré l’ouie. Tien en parlant d’ouie c’est justement la deuxième chose qu’il faut redémarrer. En effet une fois que l’on sent le souffle du vent il nous faut l’entendre. Car même si l’on sent le vent il nous faut entendre le sifflement de ce dernier dans les herbes et dans les arbres pour différencier la tempête de la douce brise d’été qui vous berce lorsque vous êtes dans les bras de votre belle.
Bien maintenant que nous avons les sensations et l’ouie il est temps de réveiller le goût car sinon on ne peut pas connaître le goût de la peau de cette inconnue à qui l’on dit TU pour la première fois et ce même si c’est la dernière fois. Reste encore a ouvrir les yeux. Les yeux servent à découvrir la beauté du monde. Il faut être capable de toujours regarder le monde avec un regard neuf. Car dans ce cas on peut fixer le même mur toute sa vie et ce dernier nous parait différent à chaque fois. Comme une invitation à découvrir un monde nouveau.

Lorsque tout les sens sont de nouveau en état de fonctionner alors on peut tout faire.

Il existe encore une chose que Lear n’avait pas remise en marches. La parole. Lear n’aimait pas ce moyen de communication. Il trouvait que cela était comme essayé de sentir toutes les subtilités d’une gravure fine avec des gros gants de laine. Mais comme tout ses concitoyens portait des gants de laine Lear se devait d’en portait car comment d’écrire une chose en utilisant un référentiel qui n’est pas le même que les autres. Lear trouvait que c’était la même chose pour la parole on utilisait un système de communication alors que le corps exprimé beaucoup plus de chose. Mais comme les gens ne s’arrêtait qu’à la parole, ils leurs manquaient quelque chose pour pouvoir cerner complètement la personne avec qui ils échange.

Une fois que Lear fut sur d’être totalement réveillé il se dirigea, d’un pas léger que seul ceux qui ne se soucis de rien et encore moins de cela peuvent prendre, vers l’auberge.

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MessagePublié: Dim 26 Juin, 2005 21:47 
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tres joli rp bravo!!

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MessagePublié: Lun 27 Juin, 2005 22:15 
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pareil... chapeau... je te decerne la palme du Rp de fou qui tartine son Rp sur 36 lignes :lol:
il est bien
et c'est pour? c'est juste comme ça?

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MessagePublié: Mer 21 Déc, 2005 20:05 
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Inscrit le: Mar 24 Mai, 2005 16:04
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un jour. pourquoi pas une nuit après tout. DE toute façon le temps n'a plus court. Je suis une pierre. Les pierres regardent le temps passer. Elles réfléchissent d'un manière tellement diférentes que rien ni personne ne peux les empêcher d'arriver a la fin de leurs réflexion si elles ne l'ont pas décidées. Le temps est cette chose si imatérielle que seul les humains ont décidés de le quantifier alors que les pierres possédent cette avantages de regarder le temps passer. Un jour donc qui fut aussi une nuit Je fut une pierre. Tout le monde peut être une pierre. je me suis mis a regarder les nuages se déplacer. Rapidement leurs doux balais aérien devint comme un brouillard de nuance bleu et blanche. alors poussé par l'air du temps je me mis a écouter l'herbe pousser. L'herbe posséde ce doux chant que seul le vent est capable d'emporter. les pierres sont les receptacles de ce chant et les enfant sont les auditeurs des pierres. Pour entendre une pierre chanter il faut un coeur d'enfant capable de voir l'imaginaire dans le néant. Les enfant sont ce que les pierres préferes. Pour eux une pierre est un objet magique tombé de nulle part, aussi bien pierre précieuse que météorite mais aux final les pierres ne sont elles pas tout a la foix.

Un jour , ou une nuit donc je fut une pierre et je senti les temps passer sur moi tel une rivière. Une rivière justement voila que je suis dans l'eau. Cette sensation de couler et de tomber au fond de me retrouverai pris dans la molesse et le moelleux de la vase. A peine le temps de réaliser ce qui se passe que déjà l'eau disparait et rien d'autre que le noir.cette sensation bizarre de profondeur comme si la terre avait cette étrange pouvoir de matirer en elle mais avant même d'avoir fini d'analyser ce qui m'entoure me voila dehors avec le vent qui de nouveau m'entoure et m'englobe. je n'ai pas bougé et pourtant tout a changé. rien dans les caresses si sensuelles du vent ne vient a me rappeller la douceur de ces jours d'été qui avaient si peu de prise sur moi. rien dans la doux tranquilité de ces nuit d'hiver ou seul le doux parfun de la neige devenait perceptible à mes sens endormis. Alors dans la désolation de cette constatation je me réveille et ouvre les yeux.

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MessagePublié: Mer 21 Déc, 2005 20:44 
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J'ai tout lu et c'est assez euh... psychédélique je trouve. J'ai eu un peu de mal a reconnaitre les commentaires de la fourmi des pensée du narrateur a un moment mais c'est bien ecrit dans l'ensemble et bien aéré.

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MessagePublié: Lun 26 Déc, 2005 15:21 
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Les étoiles sont là. Elles sont toujours présentent mais peu de gens pensent a les regarder. Pourtant c'est pour eux qu'elles scintillent, pour les amants qui s'aiment en prenant le temps de les regarder. rien n'est plus agréable pour une étoile que de voir deux personnes se vouer un amour éternelles sous l'éternité de leurs scintillements.

Lear regardait les étoiles. Soudain son regard fut attiré par une grosse boule jaunes flottant dans le ciel. Il se dit que puisque tout le monde le disait dans la lune autant y aller pour de vrai. Lear pris alors son élan et sauta en direction de la lune. Alors qu'il faisait route un vent malicieux se mis a souffler. Le vent aime à souffler quand les gens aimeraient qu'il ne le fasse pas. C'est là le seul moyen que le vent ait trouvé pour que les gens pensent à lui.Le vent préfere être maudit par les gens, car il les dérange, plutôt que les gens ne pensent à lui . Car si les gens ne pensent pas à lui cela voudrait finalement dire que le vent n'existe pas en effet comment penser a quelque chose qui n'existe pas.
Seul les marins pensent au vent. Il le prie, l'aime et le maudisse. finalement les marin sont un peu les amants du vent.
Donc un frais courant d'air de mis à souffler juste quand Lear était entre deux terre (ou plutôt entre terre et lune mais si on se mets à définir le sol lunaire comme étant autrechose que le sol que nous autre terrien appelont terre alors on risque de se perdre). Le vent réussi à dévier légérement Lear et ce dernier visant la lune alla se perdre dans les étoiles. Alors dans la nudité du ciel Lear décida de si promener.

Premierement il passa près de Cassiopé pour s'en drapper. ensuite il pris une aurore boréale qu'il arbora en guise d'étole. Ainsi couvert le vide de la nuit n'avait plus cette froideur éternelle que seul la pierre semble capable de reproduire et encore avec un infinité de variation en moins car la pierre est terre alors que les étoiles sont céleste donc du domaine du rêve. Lear se promena sur la voie lactée car c'est sont but ultime que d'accueillir les voyageurs. Lear se demanda qui avait bien put construire cette voie céleste car elle n'était que perfection. En la suivant il passa près d'Orion dont il prit la ceinture. Continuant son cheminement il passa à coté d'un mére Ours défendant sa petite d'un mortelle dragon. Ne pouvant intervenir dans cet imuable combat Lear continua sa route. Il passa près du signe et avec lui s'envola au Sud puis croisant la belle androméde, entravé pour l'enternité en offrande au Dieu Poseidon il ne put rester insensible à la beauté de cette princesse mais aussi à la beauté de son sacrifice. Encore frappé par le beauté de ce qu'il venait de voir Lear s'approcha de l'eternel compagnon de dyonisos. Le Verseau remplissait de façon continu la coupe de celui qui avait le courage de tendre son bras. Lear profita de cette occasion pour se désalterer. discretement il continua sa route près d'héracles dont la massue semblait prête à assomer la première personne passant à sa porter avant d'aller se perdre dans un nuage d'étoile.

Pendant que Lear errait dans l'infini de la nuit une étoile se leva. elle se mit a inonder la terre de son éclat et irrésistiblement Lear se sentit attiré par elle. La beauté de ses éruptions tels d'éphémére scintillement et là puissance qui semblait émanner de son être faisait tout pour attirer Lear toujours plus près. Lear ne resistait pas. Il aimait cette sensation de puissance qui l'encerclait et le couvait. Alors un rayon plus audacieux que les autres vint éclairer le visage de Lear et se dernier réchauffé par la douce puissance de l'astre diurne se réveilla.

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MessagePublié: Ven 30 Déc, 2005 13:50 
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Lear regarda les troupes adverse reculer. C’était le troisième assaut de la journée et il ne comprenait pas où ces derniers pouvaient trouver la force de continuer à attaquer. Jusqu’ici les défenseur de la ville avait toujours réussi a repoussait les attaques mais le dernier avait était particulièrement violent et Lear n’était pas sur qu’ils arriveraient a en repousser encore un. Soudain les tambours adverses se mirent a retentirent et Lear vit leurs troupes reprendre leurs positions. Les archers étaient déjà près a envoyer cette nuée meurtrière mais Lear savait parfaitement que cela ne servirait a rien ils continueraient encore et toujours à déferler, toujours plus nombreux et plus frais qu’eux et si les murs de la villes n’avaient pas été construit pour résister justement a ce genre d’assaut Lear n’était pas sur qu’il serait encore là pour regarder les troupes adverses se mettre en branle. Un cri s’éleva de la masse qui déferlé vers les murs tel un vagues poussé par la plus formidables des marées humaines. Les flèches prirent leurs envoles et semèrent la mort dans la nuée d’adversaire en mouvement. Les cris des blessés n’avaient même pas le temps de quitter leurs gorges que les pieds de ceux qui arrivaient derrière les étouffaient. Puis de nouveau Lear n’eut plus le temps de penser car rien d’autre ne comptait que de survivre. Lear ne se rappelait même plus pourquoi il était venu se battre sur ses murs. Tout ce qui comptait maintenant était de trancher les fils de vie de tout ceux qui arrivaient à hauteur de son épée.

Soudain sans savoir pourquoi la masse sembla reculer et Lear compris qu’il verrait encore une fois le soleil se coucher sur la terre devenue rouge du sang qui la recouvrait. C’était alors l’heure des flammes. En effet, afin d’empêcher le développement des épidémies, ces Hommes, qui quelques heures plus tôt n’aurait pas laissé la moindre chance a ceux d’en face, travaillaient de concert pour regrouper les cadavres de ceux qui avaient rejoint les champs de l’éternité. De gigantesque braisier étaient allumés afin de brûler leurs corps et ainsi permettre a la boucherie de recommencer, encore et toujours, le lendemain comme si il se fût s’agit de la première aube.

Lear regarda le jeune garçon qui lui tendait une coupe. Sans réfléchir il prit cette dernière et bu jusqu’à ce qu’il se souvienne qu’il devait aussi respirer pour vivre. Pour Lear cette eau avait la vertu de le nettoyer de toutes les souillures que cette guerre avait laissée sur lui. Venait alors l’heure où il pouvait enfin aller se reposer. Lear descendit les marches du mur et se retrouva dans la cour. Là les râles des agonisant étaient couverts par les cris des blessés. Alors Lear parti dans la ville sans but aucun juste pour le plaisir de marcher. Il ne voulait pas aller dormir car il revoyait alors les yeux de ceux à qui sa lame avait retiré à jamais la possibilité d’envisager un avenir.

Lear ne comprenait pas pourquoi les Hommes se battaient. Aussi loin que sa mémoire remontait il en avait était ainsi et l’histoire était pavait de récit de batailles toute plus glorieuses les une que les autres. Car Lear avait aussi remarqué que les Hommes avaient cette propension à toujours oublier les fois où ils n’étaient pas à l’honneur de l’héroïsme des boucheries qu’ils se plaisaient à créer. Lear chercha une cause juste, qui lui aurait permit de justifier cet énième combat mais rien ne lui vint. Rien d’autre que l’horreur des actes et le doux parfum de la chair entrain de se consumer sur les bûché funéraire. Il ne comprenait pas que les Hommes ne fussent pas capables de vivre ensemble sur une même terre sans se haïr. Pour lui aucune « race » n’était supérieure à une autre. D’ailleurs Lear n’aimait pas le terme de race. Ce dernier prouvait trop l’habitude des hommes a toujours vouloir tout quantifier, tout mesurer et classer selon d’obscure critère qui n’avait pour but que de permettre une justification historique.

Lear se mit à rêver d’un lieu en d’un temps ou tout le monde pourrait vivre ou bon lui semble. Où les guerres ne seront plus et que nul ne cherchera a imposer son mode de pensé ou ses croyances a ses voisins. Lear se demanda alors si à l’aube des temps les Hommes n’était pas comme ça. Mais alors si tel étaient nos ancêtres, si ces derniers étaient capables de vivre ensembles sans convoiter son prochain, pourquoi en était on arrivé là. Qu’est ce qui avait eut pour effet de créer cette état de fait que tout le monde semblait accepter et qui faisait que des hommes mourrait parce que d’autre homme avait décidé qu’il devait en être ainsi, qu’est ce qui faisait que nul par sur cette Terre la paix ne régnait et que ceux qui disaient que l’on pourrait peut être vivre sans passer son temps à pourfendre son prochain étaient montré du doigt et mené en place publique pour y être sacrifié au cupide désir des autres de voir la souffrance gratuite.

Lear rentra dans un bâtiment. Dans ce dernier les blessés attendaient qu’un quelconque chirurgien viennent voir si ils pourraient, un jour, espérer remarcher ou reporter un toast a la paix et ce jusqu’à la prochaine guerre dans laquelle ils seraient pris. Leurs râles de souffrances avait ceci de bénéfique sur les autres blessés qu’ils leurs permettaient de savoir que eux étaient encore entier et que le lendemain ils n’auraient pas a remonter sur ce mur.
Par contre ces soupir de douleurs rappelaient a ceux qui étaient encore capable de tenir une arme que dès le lendemain ils auraient l’insigne honneur de pouvoir de nouveau regarder la mort dans les yeux et que, avec un peu de chance, ils pourraient encore lui rire au nez, une fois de plus et ce jusqu'à ce que cette dernière décide qu’elle avait le droit de réclamer son dû.

Lear sorti de ce bâtiment car son esprit commençait à flirter avec l’idée de ne pas remonter sur le mur. Or seulement deux types de personne ne remonte pas sur le mur. Les déserteurs et les morts et Lear ne voulait s’avouer se peur et il aimait encore moi l’idée que la mort puisse venir l’étreindre dans la froideur de ses bras.

Lear se dirigea vers les cantines car il n’avait rien mangé depuis la veille et que les derniers combats avaient eut raison de ses maigres forces. D’ailleurs Lear se demandait comment des hommes n’ayant rien de plus que le repas de la nuit dans le ventre était capable de repousser quatre ou cinq assauts par jour. Le doux parfum du repas vint s’enrouler autour des narines de Lear et c’est l’eau à la bouche que ce dernier se présenta dans la salle des repas. Là il prit un gamelles et s’approcha des immenses marmites pour pouvoir y prendre le brouet qui devrait réussir a le maintenir debout jusqu’au lendemain.

Poussé par une un sentiment étrange Lear monta sur le mur pour manger son repas. Là les sentinelles regardaient le camp ennemi, plus pour tromper la peur et l’attente que pour prévenir une attaque car tous savaient que cette dernière ne pourrait venir dans un silence absolu.
Lear monta sur un créneau et se mis à manger. Les feux de leur adversaire constellaient la nuit. On aurait dit des millier d’étoile tombaient sur terre. Lear ne voyait rien d’autre que cela. A force de les fixer, ces derniers se brouillèrent dans les yeux de Lear jusqu’à ne plus former qu’une immense tâche de lumière.
Lear fini par s’endormir sur le créneau.

Lorsque les premiers rayons du soleil virent caresser Lear se dernier se réveilla. Il descendit dans la cour et rangea l’assiette qu’il avait prise la veille. Puis, prenant sa lame il remonta sur le mur pour se mettre a sa place et attendre. Lear était un milieu du mur. Le nombre d’assaut auquel il avait survécu lui avait valu de se retrouver sur cette place stratégique car c’était là que le premier soldat de la première ligne de la première vague d’assaut venait se fracasser.
Lear vit le camp adverse se réveiller, les régiments prendre places et les généraux sortir. Puis les tambours de guerre se mirent à délivrer leurs sombres messages. Annonciateur de ma prochaine venue de la mort ces derniers avaient toujours le même effet sur Lear. Entendre leur musique réveillait en lui un instinct de survie qui n’avait qu’une seule envie, celle de fuir le plus loin et le plus vite possible. Mais comment faire quand on est acculé, posté sur un mur avec pour seul possibilité celle de tuer ou de mourir.

Soudain es tambours se turent et Lear eut une impression d’éternité. Ce moment unique ou l’on sais que quelque chose va se produire et que rien ne pourra l’empêcher mais que cette chose n’a pas encore eut lieu. Puis un cri guttural monta des gorges de la masse et l’assaut fut lancé.

Lear regarda la première ligne se faire hacher par les flèches puis soudain les premiers combattants furent un pied du mur et les échelles furent installées. Lear pris le temps de regarder sa lame puis le premier adversaire arriva devant lui. Lear planta son épée dans la gorge de ce dernier. Il ramena sa lame en arrière puis pivota sur lui-même tout en se baissant pour éviter un autre attaquant. Il planta son épée dans le ventre de ce dernier et le poussa dans la cour ou les plus vieux et les blessés l’achevèrent. Mais Lear n’eut pas le temps de voir cette mise a mort car déjà un nouveau combattant se dressait devant lui. Lear leva son épée pour parer le coup de taille de son adversaire puis lui attrapant le poignet il le repoussa dans le vide. A ce moment Lear disposa d’un moment de répit. Il regarda autour de lui et vit son ailier se faire pourfendre par un assaillant. Lear sauta sur ce dernier et lui ôta la tête d’un revers de sa lame.
Soudain Lear senti un grand froid remplir l’espace. Il regarda partout autour de lui pour comprendre d’où venait cette peur d’un autre age. Lear le vit alors. Il était là sur un créneau. La lame de son épée ressortait de la tête d’un des défenseurs du mur pour aller aussitôt se plonger dans le cœur d’un autre. C’était un elfe. Aussi noir que peut l’être la plus noir des nuits. Il se battait avec une telle virtuosité qu’on aurait dit qu’il dansait. Sa seule présence faisait plus de dégât dans la ligne des défenseurs que tout les assaut qui étaient venu s’écraser sur le mur. Lear s’approcha de ce combattant. Plantant son épée dans la gorge d’un assaillant se trouvant sur sa route Lear se retrouva soudain devant lui. L’épée de l’elfe avait dégagée un espace de calme sur le mur. Lear rentra dans ce cercle de mort et para l’attaque de l’elfe. Il pur réussir ce coup car l’attaque ne lui était pas destinée. Il repoussa l’elfe et l’attaque. Mais ce dernier esquiva l’attaque de Lear avec une telle facilité que Lear se retrouva dos à son adversaire. Il se retourna juste assez vite pour parer l’attaque de son adversaire mais ce dernier lui attrapa le bras. Il se mis alors à regarder Lear dans les yeux et ce dernier ne vit rapidement plus que les deux prunelles rouges de l’elfe. Soudain l’elfe effectua une rotation sur lui-même et…




… peu de temps après la ville tomba.

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LES LEMMINGS VAINCRONT
Les marguerites existent
merci aux correcteurs
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