Illidane a écrit:
Hum, j'aurais vraiment aucune idée de ce qu'est l'alliance je ne dirigerais pas un clan pro-alliancieux, et je n'aurais pas répondu positivement a la défense du royaume humain
C'était une mobilisation des humains qui avait été lancée. Ensuite il y a eu dérapage : certains humains ont mobilisé leur clans, des chefs de clans ont proposé leur aide, du coup les hordeux ont mobilisé également, et donc on s'est retrouvé dans une situation où la seule mobilisation humaine ne pouvait pas permettre de résoudre le problème posé par l'installation du palais aT*.
Zayl a écrit:
C'est plus dur de faire des sieges des royaumes (pour nous) car vous arrivez a rassembler plus de monde que nous donc du coup ça aide
Lors de la mobilisation contre le palais aT* j'ai tiré la conclusion suivante : solliciter de l'aide auprès de non humains pour défendre le Royaume Humain apporte plus de problèmes qu'il n'en résoud. Les principaux problèmes sont les dommages collatéraux, l'escalade du nombre total de bélligérants, et le problème de coordination entre clans et coordination des humains défenseurs du Royaume Humain.
Personnellement, je défends désormais la ligne suivante : la défense du Royaume Humain ne regarde que les humains volontaires et les clans monoraciaux humains, du moins tant que le Royaume Humain n'exprime pas de demande officielle d'aide auprès d'autres Royaumes ou de clans non monoraciaux humains. En d'autre termes, un système d'accréditation sur le champ de bataille.
Ça permettra sans doute d'éviter que les humains se fassent ensuite reprocher qu'ils sont une bande d'inorganisés incapables de se défendre par eux-même.
Et ça permettra aux hordeux de ne pas être submergés par le nombre, du moins s'ils ont le souci de contribuer à l'équilibre des forces en présence.
Ceci est une position purement personnelle, que je tâcherais de faire mettre en application, même si ça soulève pas mal de réticences. La principale étant liée au fait qu'on devra éliminer les alliés non-humains qui tentent de squatter le conflit en dépit de nos demandes de ne pas intervenir.