Pauvres Sylves, pauvres fous.
Depuis des lunes déjà ils tentaient par tous les moyens de fédérer les coalitions du Lorndor contre leur ennemi de toujours : les clans de la Horde.
Après quelques tentatives peu fructueuses, ils avaient réussi à mobiliser 2 armées, l’une composée de Neutres et de quelques allianceux, l’autre exclusivement de combattants Avallons, Hirdeors et de la fédération naine.
Face à cette dernière qui se composaient de nombreux valeureux guerriers étant, depuis la genèse de ce monde, en guerre et habitués aux assauts de palais, les clans hordeux avaient décidé, avec l’aide des RISE et des Drows, d’opposer les 2/3 de leur armée.
Le combat avait été acharné et le palais était tombé de peu car il aurait fallu quelques heures de plus pour exterminer l’armée énnemie qui fondait comme neige au soleil face à la supériorité numérique des défenseurs qui profitaient de l’avantage du terrain. Ce n’était qu’une piètre consolation mais, à l’image de la bataille de la zone Est contre les Neutres, les pertes avaient été sans commune mesure du côté de l’assaillant.
La réaction n’attendit pas et immédiatement après avoir nettoyé le secteur de tout élément hostile, l’armée s’était mise en branle direction le Sud et le royaume des Neutres.
L’assaut avait était donné à la tombée de la nuit et le 1er palais ne tint qu’à peine 12 heures mais qui, rapportées au nombre de PO collectées dans les coffre du clan PesteN, soit 6 malheureuses po, s’étaient avérées vraiment peu rentables.
La suite ne tarda pas et la bâtisse du fier clan ARMEE ne tint que 4 heures face à une supériorité numérique plusqu’écrasante.
Et c’est pendant cette attaque que les Sylves, après avoir fédérés les Neutres, les allianceux, se joignaient désormais aux DTC pour menacer les clans hordeux en leur royaume.
Pauvres Sylves, vous n’êtes qu’une brume que nous balaierons d’un souffle dès que nous aurons fini de nous divertir avec ceux qui ont cru pouvoir nous menacer.
_________________ K-nibal, fondateur des NORNS
Fossoyeur d'âmes
Souma-Kun me baise les pieds tous les jours, et désormais il n'a plus besoin de se pencher.
|